Satisfaite d’avoir obtenu l’accord de Rebecka, je ne perds pas de temps et reprend aussitôt la direction de la caravane.
Pour autant je ne cherche pas à me précipiter. Je m’arrête encore à quelques étals, faisant mine de m’intéresser aux marchandises, mais m’assurant en réalité que ni machines, ni humains ne s’intéressent de trop près à nous.
<murmure:>— Tu vois quelque chose de louche ? Chuchoté-je à Rebecka.