À mon tour, je remercie Aube en m'inclinant autant que me le permettent les blessures puis m'assieds de façon à avoir vue sur toute la pièce - et tout près de Davog, compagnon sûr en cas de bagarre. Car il a raison : la fatigue se fait sentir, à tel point que, contrairement à mon habitude, je boude tout alcool, ne rêvant que d'un rebouteux et d'un peu de repos dans un endroit sûr.