Je garde le silence, contemplant le corps sans vie de notre prisonnier, exécuté sans pitié par cette brute de Rindawan. Sa fin lamentable laisse manifestement mes compagnons totalement insensibles, et semble même en satisfaire certains. M'adressant au groupe, je questionne froidement :
Avant que nous allions plus loin, pouvez-vous m'expliquer la nécessité de ce meurtre ?