AuteurSujet: Everett carte SR3 (Lu 3703 fois)

Nany (cowgirl) · « **le:** novembre 02, 2015, 12:37:25 »

CARTE DE SEATTLE (SR3 mais c'est déjà pas mal)

Nany (cowgirl) · « **Réponse #1 le:** novembre 07, 2015, 10:08:07 »

EVERETT 2060

Spoiler: EVERETT 2060 D’UN COUP D’ŒIL

Spoiler: EVERETT par Everett Watcher

LES PASSAGES OBLIGÉS

Spoiler: LES PASSAGES OBLIGÉS

Spoiler: Casino Corner

Spoiler: The Rubber Suit

LES LIEUX D'INTÉRÊT

Spoiler: LES LIEUX D'INTÉRÊT

Spoiler: Everett Naval Shipyards

Spoiler: Federated-Boeing Everett Facility

Spoiler: Bicson Medical

Spoiler: Dadson Vision Entertainments

LES GANGS D'EVERETT

Spoiler: Les gangs d'Everett

Spoiler: Les Red Rovers

Spoiler: Les Kabuki Ronin

Spoiler: Les Scatterbrains

Nany (cowgirl) · « **Réponse #2 le:** novembre 07, 2015, 11:35:49 »

Détails

Spoiler: EVERETT 2072 D’UN COUP D’ŒIL

Spoiler: EVERETT

L’histoire d’Everett est faite de nombreux hauts et d’autant de bas, semblables aux vagues d’une mer agitée par la tempête. Celle qui n’était à l’origine qu’une banlieue ronronnante du nord de Seattle a connu un énorme boom économique et démographique dans les années 2040, quand le maire, Samantha Tillian, est parvenu à attirer de gros investissements et autres projets corporatistes dans le district. Des entreprises comme Dadson Vision Entertainments, Ingersoll and Berkley, IIN, ainsi que de nombreux casinos et chaînes hôtelières ont investi des centaines de millions de nuyens dans de nouveaux chantiers de construction. Le cours de l’immobilier, très bas, et des avantages fiscaux finirent par convaincre les investisseurs, et Everett s’épanouit enfin.
Malheureusement, le Crash de 2064 balaya tous les progrès du district. Avec la perte des titres de propriété, la fiscalité foncière et professionnelle fut plongée dans un marasme bureaucratique sans fin. L’intérêt des investisseurs pour le district fondit et certaines entreprises décidèrent d’augmenter leurs marges en déménageant ailleurs. La valeur de l’immobilier chuta de même quand la propriété de nombreux titres se retrouva débattue au tribunal.

O Le fait que ce guide paraît si honnête sur ce qu’il s’est passé devrait vous laisser entrevoir à quel point Everett se porte mal ces derniers temps. Si le district semble être parvenu un tant soit peu à endiguer la chute vertigineuse de son marché immobilier, ainsi que celle de son économie, c’est parce que ces deux-là ont touché le fond ! Un nombre important de bâtiments du district, aussi bien des habitations que des commerces ou des bureaux, demeurent abandonnés, et l’afflux de sans-papiers et de démunis, qui se saisissent de ce qu’ils trouvent, font du squatt un problème désormais majeur. Tout cela fait d’Everett l’endroit idéal pour trouver une planque, pour quelques jours ou même pour quelques semaines. Les contrebandiers et les gangs se livrent à une occupation intensive des propriétés corpo, des parkings et des habitations.
O Traveler Jones

O La situation d’Everett, entre les terres du Conseil salish-shidhe au nord et le Puget Sound à l’ouest, en fait le principal robinet de contrebande du métroplexe. Surtout maintenant que les contrebandiers collectionnent les points de chute dans des entrepôts vides, des docks abandonnés et autres commodités. L’économie souterraine a rapidement taillé son bifteck dans le district, et elle abreuve un marché du vice toujours plus soiffard, principalement centré autour des casinos et des maisons de plaisirs, où les militaires et les corporatistes
aiment vider leur portefeuille (entre autres choses).
O Rigger X

LIEUX INTÉRESSANTS

Spoiler: LIEUX INTÉRESSANTS

Spoiler: ALDERWOOD MALL

Spoiler: BICSON BIOMEDICALS

Beverly Park Road & 117th Street SW
Bicson s’est lancé dans les années 2040 comme fabriquant de produits phar- maceutiques et laboratoire de recherche, spécialisé dans les médicaments pour les procédures d’implantation et de maintenance cybernétiques, pour la plupart des immunosuppresseurs et des hormones de synthèse comme les béta-en- dorphines. L’entreprise a connu un essor durant le boom des biotechnologies dans les années 2050, et Cross Applied Technologies l’a rachetée en 2055, la transformant en filiale de Cross Biomedical. Quand Cross s’est effondrée après la mort de son fondateur et PDG, Lucien Cross, Bicson fut l’une des nombreuses entreprises à être rachetées dans la frénésie gloutonne qui s’ensuivit. Elle atterrit finalement chez Shiawase, qui garda le nom de la boîte et la plaça sous la coupe administrative de la branche Nord-ouest du groupe.
Bicson continue à développer des médicaments pour la cybernétique et le bioware, et notamment de nouveaux gels neuronaux, des nanovirus et des thérapies géniques destinées à combattre les problèmes de rejet. Les résultats de leur recherche sont transmis aux usines de la corporation dans le métroplexe avant d’atterrir finalement dans les bureaux de leur quartier général. L’activité de fabrication en tant que telle a été grandement transférée à d’autres sous-traitants, même si Bicson a effectivement toutes les ressources nécessaires sur site pour produire en série certains de leurs médicaments pour des essais.
> Nephrine

L’acquisition de Bicson a filé un coup de boost à la recherche de Shiawase, les conduisant vers des formes plutôt extrêmes de cybernétique, principalement des transplantations de cerveau ou de système nerveux et de gros remplacements d’organes. De la grosse tech de cyborg.
> Plan 9

C’est pas dit comme ça, mais le dernier filon de recherche de Bicson concerne plus les neurotransmetteurs et la chimie du cerveau en rapport avec la technomancie. Ils cherchent à développer des médicaments qui augmentent et/ou inhibent les capacités des technomanciens (bien au-delà que d’améliorer ou gêner la concentration du sujet), ainsi que les origines biologiques de leurs pouvoirs, si elles existent. Au moins une partie de leurs données est disponible (comprendre : a été volée) chez d’autres sources
> corporatistes. Netcat

Spoiler: BILLING’S MEDICAL SERVICES

Spoiler: CASINO CORNER*

Evergreen Way & Route 526
Du fun et des loisirs pour tous les âges, réunis en un seul endroit ! Le Casino Corner est un complexe de casinos, de boutiques et d’hôtels situé près du site Federated-Boeing à Everett. Vous pouvez y fréquenter aussi bien les boites de nuit que les établissements de jeux de hasard, ainsi que différents spectacles et autres loisirs. Le parking coûte 5 ¥ pour quatre heures (ou huit heures après 18h00) et le Casino Corner Golden Ticket, qui donne accès à l’intégralité du site, ainsi qu’à différentes promotions en cours et une boisson offerte à votre première table de jeu, est disponible pour 20 ¥. On y trouve même un Casino Kids Corner destinés à accueillir les plus petits quand leurs parents profitent de leur soirée.
L’une des meilleures enseignes nocturnes du Casino Corner est l’hôtel Garden of Eden, ainsi que le casino Shangri-La, arborant tous deux un style très rétro, ils sont parfaits pour une soirée en toute élégance.

> Le Casino Corner était fermement maintenu sous la coupe de la famille Ciarniello, qui réunit les activités de différents commerces individuels sous le même « toit » financier afin de mieux masquer leur blanchiment d’argent. Depuis un peu plus de dix ans, le Yakuza a empiété petit à petit sur le territoire de la Mafia, s’immisçant grâce à des commerces que la Famille ne touche pas, comme les salons bunrakus ou des services illicites plus chauds... Certes, le Yakuza doit manœuvrer finement, car la Mafia lui fait payer de son sang chaque nuyen perdu.
> Riser

> Le Garden of Eden et le Shangri-La appartiennent tous les deux à un «entrepreneur indépendant » : Alex Harrison. Ce dernier est apparu comme par magie après le Crash 2.0, dans le milieu des années 2060, avec un CV qui a tout du préfabriqué de toutes pièces. Il gère ses enseignes avec une attitude très conservatrice, gardant ses établissements dans l’ensemble libres de toute amélioration RA et autres distractions. Il semble aussi tenir à son indépendance, gardant son business loin des mains du crime organisé du district. Jusqu’ici, il paraît jouir d’un bon réseau de contacts dans les Ombres, et possède assez de
liquidités pour le maintenir. Seul le temps nous dira si cela va durer.
>Khan-A-Saur

Spoiler: DADSON VISION ENTERTAINMENTS

Spoiler: DANNY’S BAR AND GRILL*

Spoiler: DARRINGTON CORRECTIONAL FACILITIES

Spoiler: EBEY’S BAR IN EXILE*

Spoiler: EVERETT BEACON MALL

Spoiler: EVERETT COMMUNITY COLLEGE

Spoiler: EVERETT DISTRICT HALL

Spoiler: EVERETT GALA INN

Spoiler: EVERETT GENERAL (UN HÔPITAL NEONET)

Spoiler: EVERETT MARINA

Spoiler: EVERETT NAVAL HOSPITAL

Spoiler: EVERETT TRIPLETREE INN*

Beverly Boulevard & Madison Street
Ce luxueux hôtel de dix étages, qui faisait partie de la chaîne TripleTree, fut érigé à la fin des années 2040 alors que l’économie d’Everett était en plein boom. Il attirait principalement des clients corporatistes, principalement des cadres descendus en ville pour conclure des affaires ou assister à des réunions. Quand l’activité corporatiste s’est asséchée pour finalement disparaître, l’hôtel suivit. Il survécut difficilement quelques années, avant de fermer pour de bon voilà, à peu près quatre ans. Une enseigne « À vendre » décore les lieux depuis.
Un ancien hôtel de luxe avec des centaines de chambres apparaît bien vite comme un petit paradis pour les squatteurs, et l’endroit se transforma vite en un peu tout à la fois : hébergement improvisé, salle de fêtes ou encore entrepôt de fortune. Les proprios originels ont pour ainsi dire laissé tomber les lieux, et les autorités craignent franchement de descendre ici trop souvent, de peur de trop attiser les esprits. Le gouvernement du district ne souhaite pas voir la structure démolie, à moins que quelqu’un ne présente un plan sérieux pour développer le terrain. Seulement, personne n’est intéressé, et TripleTree reste donc debout là, à pourrir, avec toute une racaille qui grouille autour et dans sa carcasse...
> Khan-A-Saur

> Même si l’idée d’origine était de faire du TripleTree un collectif anarchiste, la nécessité fait loi, et un boss du nom de Colton s’affirma rapidement comme, de facto, le superintendant des lieux. Il s’agit d’un troll, qui veille à ce que quelques-uns des systèmes de l’hôtel continuent de bien fonctionner, exigeant des sommes plutôt raisonnables contre la jouissance des différents services qu’il contrôle (comme l’eau et l’électricité). Quiconque n’apprécie pas la chose finit toujours par devoir négocier avec l’extrémité affûtée d’un des nombreux objets tirés de la boîte à outils de Colton.
>Glitch

Spoiler: EVERGREEN ARBORETUM AND GARDENS

Spoiler: FEDERATED-BOEING EVERETT FACILITY

938 84th Street SW
C’est dans les usines de Federated-Boeing à Everett que sont assemblés les immenses avions et navettes spatiales qui valent à la corporation sa renommée mondiale. Ce site compte dix usines (en plus des machines d’assemblage et des ateliers), dont cinq réunies sous le même toit, celui d’un des bâtiments les plus grands au monde, qui accueille les chaînes d’assemblage du colossal Boeing 828.
Partout autour de ces usines et des pistes d’atterrissage de Paine Field, se déploie un immense lotissement résidentiel corporatiste surnommé «Boeingville». L’entreprise équipe et aménage certains des condos et des appartements destinés à ses employés, qu’elle fournit aussi en commodités et autres loisirs, selon les clauses de leur contrat. Federated-Boeing Security assure les services de police et de secours au sein de cette communauté corporatiste, ce qui fait de Boeingville l’une des banlieues les plus propres et les plus sûres de Seattle.

> Cette volonté affichée de Federated-Boeing de fournir des logements de fonction provient d’un besoin de garder les employés les plus importants près d’elle, pour mieux les protéger d’éventuelles tentatives d’extraction de ses rivaux : Ares, Mitsuhama, Sikorsky-Bell et Saeder-Krupp, pour n’en nommer que quelques uns, tous des cadors de l’aérospatiale. Les employés de F-B vivent donc dans cette communauté corpo, envoient leurs enfants dans des écoles corpos, font leurs courses dans les boutiques corpos et s’offrent parfois une sortie nocturne dans le centre commercial et de loisirs corpo, où ils dépensent leur salaire qui n’est valable que chez Federated-Boeing. C’est une prison dorée, certes, mais il n’est pas impossible d’en sortir.
> Mr. Bonds

> En parlant de ça, les endroits comme Boeingville, ainsi que toute la F-B Everett Facility, font un usage intensif des marqueurs RIFD pour déterminer si quelqu’un est autorisé à s’y trouver ou non. C’est pratiquement un État policier. La sécurité peut exiger de voir et vérifier votre identité à tout instant, sans raison apparente, et refuser d’obtempérer peut vous attirer un monde d’emmerdes. Le leitmotiv de l’entreprise est que tout cela est nécessaire à la sécurité, pour protéger ses employés des éventuels dangers extérieurs, mais ces règles sont surtout là pour s’assurer que tout le monde demeure loyal et sache que, si vous effleurez même la pensée de vous enfuir ou de trahir les secrets de la corpo, la sécurité le découvrira forcément.
>Kat o’Nine Tales

Spoiler: GRAVITY BAR*

Spoiler: HAJEK’S COMPUTERS*

Spoiler: INDEPENDENT INFORMATION NETWORK BUILDING

Spoiler: INGERSOLL AND BERKLEY SOY PROCESSING

Spoiler: KOFFEE

Spoiler: KONDORCHID SHIPPING DEPOT

Spoiler: LAKEVIEW INN

Spoiler: LYNWOOD LIBRARY

19200 Forty-fourth Avenue W
Cette antenne de la Seattle Public Library passerait presque inaperçue si elle n’avait pas été exceptionnellement gérée, pendant trente-cinq ans, par Craig Moon, son ancien directeur, et son assistante de l’époque, Cheryl Schrick, qui ont su rassembler l’une des plus riches collections d’ouvrages occultes d’Amérique du Nord, comportant même des versions numériques de nombreux textes anciens et très rares. La collection Moon, telle qu’on la désigne maintenant, est donc hébergée à la Lynwood Library et disponible pour le public, même si beaucoup de leurs volumes imprimés sont si rares qu’ils ne sont pas autorisés à circuler. L’entière collection de la bibliothèque, soit plus de 1 500 volumes, est aussi disponible gratuitement au format ebook, même si la plupart des adhérents habituels demeurent plutôt conservateurs et préfèrent ainsi manipuler les livres papier.
> Lyran

> Ils ont quelques bonnes raisons pour agir ainsi. Tout d’abord, il faut savoir que même les techniques de numérisation et de reconnaissance de caractères les plus modernes ne sont pas sans défauts (sans parler de celles que Moon et Schrick ont utilisées voilà vingt ou trente ans). Un théorème et un rituel magiques ne sont pas le genre d’écritures où vous souhaitez voir apparaître une faute de typo ou une lettre à moitié effacée ! Ensuite, les livres papier comportent eux-mêmes une résonance magique aussi importante que les mots ou les images qu’ils contiennent. Et enfin, la plupart de ces livres ont potentiellement une grande valeur, comment allez-vous savoir, autrement, lesquels vous devez voler ?
>Ethernaut

> Vous pouvez « emprunter » un livre de la collection Moon, mais à vos risques et périls ! D’après la rumeur, l’un des derniers actes de Craig Moon fut de réaliser un rituel, tiré d’un des rares volumes qui n’apparaissent pas dans la collection. Le rituel lie un puissant esprit gardien à la bibliothèque occulte, afin de veiller sur elle et s’assurer qu’elle ne soit pas dilapidée ou mal utilisée. J’ai entendu parler d’au moins un mage plutôt avide, qui a tenté de voler là-bas une copie du Liber Umbrus. Son cadavre a été retrouvé sans marque ni motif apparents, et le livre est retourné à la Lynwood Library, comme de lui-même, sans aucune autre explication.
> Axis Mundi

> Je pensais qu’on n’était pas là pour répéter les légendes urbaines dans ces colonnes. La vérité est que la collection Moon est bel et bien surveillée, mais par un groupe d’anciens élèves dévoués de Craig Moon, dont mademoiselle Schrick. Ce groupe est peut-être lui-même à l’origine de cette histoire d’«esprit gardien», car chaque voleur qui s’intéresse de près ou de loin à l’œuvre de leur
ancien mentor connaît les pires ennuis.
>Snopes

Spoiler: MUKILTEO PARK*

Spoiler: NAVAL STATION EVERETT (BASE NAVALE D’EVERETT)

Entrées principales sur Rucker Avenue & Pacific Avenue
Construite vers la fin des années 1980 pour héberger une flotte de transporteurs de troupes ainsi que des chantiers capables d’assurer la maintenance des navires de la marine des États-Unis, dans le cadre de la campagne Homeport Strategic, la base navale d’Everett demeure l’unique base active de la marine des UCAS sur la côte Pacifique de l’Amérique du Nord.
La base navale procure des centaines d’emplois à Everett et stimule énormément l’économie locale. Elle devint bien entendu une cible de choix durant la Guerre de la Danse Fantôme, et n’a jamais été prise, au contraire de sa « jumelle » à Bremerton, de l’autre côté du Sound. La base connut un long et lent déclin durant les années qui ont suivi la guerre, alors que les États-Unis (devenus ensuite les UCAS) concentraient leur attention ailleurs, et il y eut même des projets de la désaffecter totalement à la fin des années 2030. Toutefois, en 2042, le Congrès des UCAS ratifia le Military Improvements Act (loi d’améliorations militaires), et les bases d’Everett et de Fort Lewis devinrent les deux pôles stratégiques de l’implantation de l’armée des UCAS à Seattle. L’établissement de la Joint Task Force Seattle dans le Pacifique Nord-ouest ne fit qu’accroître l’utilité stratégique et matérielle de la base navale.
La Naval Station Everett est le port d’attache d’une flotte nucléaire des UCAS, groupée sous le commandement du super porte-avions USS Colin Powell. En plus de celui-ci, elle comporte deux destroyers, trois frégates et une escouade de gardes-côtes. Environ 8 000 personnes, civiles ou militaires, sont assignées à la base navale, et 500 d’entre eux travaillent sur site. Des visites guidées de la base navale, ainsi que de l’USS Koontz, sont proposées tous les jours, animées par le personnel de la Navy des UCAS.

> Il arrive, occasionnellement, qu’un vaisseau salish-shidhe mouille aux chantiers navals d’Everett pour maintenance, conformément au Traité de Denver et aux différents autres accords passés entre les forces de défense du CSS et le métroplexe de Seattle. Pourtant, à chaque fois que cela arrive, une vague de tension s’abat sur les lieux et tout le monde est sur les dents.
> Mika

> Le Congrès des UCAS statue actuellement sur des propositions d’étendre la base navale d’Everett par expropriation, en visant les terrains « abandonnés » à proximité, en dépit des revendications que formulent différentes corporations, telles que Wuxing, NeoNET et d’autres quant à leur propriété. Les différentes tentatives d’établir un protocole d’accord autour de ce projet ont toutes échoué
jusqu’ici, alors attendez-vous à voir les Ombres s’agiter des deux côtés à ce sujet.
>Kay St. Irregular

>La triade des Quatre-vingt huit contrôle la plupart des activités mafieuses autour et dans la base navale, proposant aux marins leurs augmentations, leurs drogues récréatives, leurs puces, leurs prostituées et toutes autres sortes de loisirs de contrebande. Le Yakuza rêve de croquer une part du butin, mais la police militaire des UCAS demeure très méfiante envers les Japonais, surtout parce que le Japon impérial regarde d’un œil sévère et attentif la seule base militaire des UCAS du Pacifique capable de lancer une attaque sur lui. Toutefois, toutes les tentatives des Quatre-vingt huit de choper une part de l’économie souterraine dans et autour de Fort Lewis ont été sévèrement repoussées par la Mafia, qui contrôle jalousement ce territoire-là.
> Riser

Spoiler: RIKKI’S RATHOLE*

Spoiler: SEATTLE FERRY TERMINAL

Spoiler: SILVER CLOUD INN

Spoiler: THE RUBBER SUIT

Upper Ridge Road & Eighteenth Street SW
L’une des plus grandes et illustres boîtes de nuit d’Everett. Le Rubber Suit doit principalement son succès à sa thématique originale : la boîte s’est inspirée des films de monstres japonais du XXe siècle, au point d’incorporer une maquette de Tokyo en ruines à son décor. Les clients peuvent donc s’assoir sur un building pour prendre un verre ou piétiner les rues ravagées qui entourent le dancefloor. Des applications RA renforcent l’illusion, ajoutant ça et là des lignes à haute tension qui grésillent ou même une foule miniature ou des chars prenant vos pieds d’assaut. Vous vous sentirez apparaître tel un géant ravageant un paysage urbain en ruine ! Des écrans tridéo diffusent en boucle des montages de vieux films de monstres, accompagnés de morceaux de musique tout à fait moderne. Tant que vous y êtes, goûtez donc le cocktail « Halène atomique » ou encore le plateau d’« entrées des 20 000 lieues » (si vous aimez les sushi exotiques).

> Le Rubber Suit attire les Yakuzas depuis toujours. L’endroit ne leur appartient pas et ils ne le contrôlent pas, pourtant. Il semble qu’ils raffolent juste de l’ambiance. Toutefois, cette attirance a été la source de nombreuses violences, notamment quand la Mafia, les Anneaux de Séoulpa ou encore des gangs yakuzas rivaux descendent ici pour s’occuper d’un kobun ou d’un autre sous-fifre.
> Rizer

>S’il y a bien une chose qui fait que le Rubber Suit reste debout, c’est son esprit. Au premier degré, je déconne pas. L’endroit bénéficie de la présence d’un « esprit de la Terre » (si c’est bien le bon mot pour désigner ça), qui, d’après certains témoins, se manifeste sous la forme d’un reptile humanoîde, au rugissement assourdissant et à la capacité de cracher du « feu atomique ». Ce dernier se montrerait très protecteur envers l’établissement, et des légendes urbaines prétendent que quiconque fout la merde dans le Rubber Suit même (plutôt que, par exemple, se déplacer dans le parking adjacent pour défoncer la gueule d’un mec) le paie très cher. Il y a quelques années de ça, une poignée de tueurs des Finnigan, qui avaient criblé la boîte de balles, ont été retrouvés fris comme des chips dans une impasse à quelques kilomètres de là. Ils ont dûêtre identifiés avec leur dossier dentaire.
> Ethernaut

> Cela signifie que l’esprit de la Terre du Rubber Suit est libre de sortir de son domaine.
> Axis Mundi

> Oui. Et il ne s’en prive pas.
> Ethernaut

Spoiler: THOMAS LAKE MINING AND OIL

Spoiler: TRAVIS MEMORIAL HOSPITAL

AuteurSujet: Everett carte SR3 (Lu 3703 fois)

Nany (cowgirl)
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Everett carte SR3

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Everett 2060

Nany (cowgirl)
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Everett 2072

Lignes et Colonnes du Tableau

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Nany (cowgirl)(benben)

Everett carte SR3

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Everett 2060

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Everett 2072

Lignes et Colonnes du Tableau

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