Ballades feutrées

[Légion(Major Turbop)]

ah oui forcément; au niveau -1 c'est une prisonnière...
Lieutenant, on pourrais vérifier si elle est toujours vivante ?
les autres Log-ins ont quelle droits ?

[MJ(Souricette)]

 Comm 1   
11 dés lancés
5,4,6,2,5,5,2,1,2,5,5
6 Succès à 5+
Permet d’accéder à tous les appareils (et leurs historiques sur 7 jours) de transmission avec l'extérieur de la base

   Comm 3   
11 dés lancés
2,4,6,1,5,3,5,1,3,6,2
4 Succès à 5+
Permet d’accéder à tous les appareils (et leurs historiques sur 30 jours) de transmission avec l'extérieur de la base


   Databases 5   
11 dés lancés
4,2,3,2,2,5,6,3,4,2,4
2 Succès à 5+
Permet d'accéder aux historiques de logins sur les différentes bases de données spécifiques internes

   Accès Spécial   
11 dés lancés
3,2,2,5,3,5,4,4,4,3,3
2 Succès à 5+
Permet de débloquer l'accès aux étages à accès restreint. Cette accréditation étant spéciale, l'accès à ces étages en utilisant ce code sera répertorié dans l'historique de l'étage en question.

[Légion(Major Turbop)]

Je vais tenter de copier sur mon PAN les informations suivantes :
-Toutes les transmissions de la base avec l’extérieur ; j’inspecte juste pour l’instant  les 10 dernières minutes, mais je stock celles sur 30 jours  pour les analyser plus tard.
-Les historiques des log-in, que je consulterais plus tard.
Une foie effectué, j’efface les races de notre passage (camera et historique des log-in)
Lieutenant, je peu nous faire accéder aux étages restreins, mais je me demande si il n’y aurait pas un risque que des choses s’en échappe, on vérifie avent ?

[MJ(Souricette)]

Il y a très peu de communications vers l'extérieur depuis cette base secrète supposée ne pas exister.
Sur les 30 derniers jours, Légion en trouve donc seulement 2.

• 1 transmission d'1 fichier de datas, encodé, il y  a 15 jours.
• 1 transmission d'1 fichier vidéo, encodé, avant-hier à 11h45.

[Légion(Major Turbop)]

Hacking 5 + logiciel de cryptage 5

fichier:

10 dés lancés

6,6,4,5,5,5,6,4,4,6

7 Succès à 5+

vidéo:

10 dés lancés

5,5,1,3,2,3,4,3,1,5

3 Succès à 5+

[MJ(Souricette)]

hum ?
Lequel veux-tu décrypter ?

[Légion(Major Turbop)]

les deux mais c'est peut-être une action étendue... (je suis dans un cybercafé et donc sans les règles)
dans ce cas, je commence par le fichier!

[MJ(Souricette)]

Nan, c'est 2 fichiers / 2 lancers, pas d'action étendue ...

 fichier de datas : décryptage ok
Ceci est la liste des courses pour le ravitaillement de la base.
Matériels, pièces détachées, bouffe, et tutti quanti ....

[Légion(Major Turbop)]

Pour la vidéo, je refais une tentative! (les 3 réussites ne semblent pas suffire :/ )

10 dés lancés

4,5,2,2,4,4,5,5,1,5

4 Succès à 5+

[MJ(Souricette)]

La vidéo est .... édifiante !
Il s'agit de l'enregistrement de l'interrogatoire de la pilote ....


La vidéo est tournée depuis une caméra placée en hauteur dans une salle d'interrogatoire standard : toute en béton et plastacier, de dimensions minimales, une seule chaise ordinaire placée au centre de la pièce. Deux hommes se reflètent dans le grand miroir situé dans le champs de la caméra tridéo qui s'y reflète. Ce sont visiblement des militaires, mais impossible de déterminer ni leur grade, ni à quel corps ils appartiennent. Ils se tiennent prêts.
La porte se referme avec un clic tandis qu'une jeune femme est poussée dans la salle. Sa coupe, brosse blonde courte, lui donne une apparence masculine quasi-militaire affectionnée par les riggers de T-Bird. Elle se tourne pour faire face à ses ravisseurs, mais ses allures de défi fondent en humeur maussade sous une paire de regards fixes et durs. Elle s’effondre sur la chaise inconfortable et regarde fixement le plancher en béton.
Les yeux de la femme sont cernés de profondes contusions, son visage est marqué par la fatigue et la crainte.
« Nous reprenons ? » demande un des hommes, d’une voix faussement raisonnable. .
Il est habillé de façon décontractée – en jeans avec une chemise de l’armée en sueur – mais sa posture est raide et tendue. Ses yeux bleus scintillent comme la glace, laissant percer le mensonge dans son ton de voix fluide.
« Suis-je autorisée à dire non ? » Le calme extérieur de la femme est également faux. .
« … hum … « Autorisée » est un terme « contrasté ». On te permet de dire « Non » aussi souvent que tu le souhaites. Mais tu risques de ne pas aimer les conséquences. » Sa voix est plate, presque douce, avec juste un zest d’accent de Boston. .
« Je sais que vous apprécieriez un autre séjour dans le réservoir. » les yeux foncés de l'autre homme montrent peu d'émotion. Il semble ennuyé. .
« Oui. » Le premier homme sourit. « Recommençons depuis le début. Quel est votre nom ? »
« Elizabeth Moonstraw. » Marmonne-t-elle à ses genoux, avec juste assez de défi encore dans ce petit geste. .
« Bon. Et d'où êtes-vous, Beth ? Je peux vous appeller Beth ? »
Elle des yeux plissés – de douleur ou de colère – pendant qu’il prononce son nom, mais elle répond du même ton monocorde :
« Olympia, Salish-Shidhe. »
« Vraiment ? Ainsi pourquoi pilotiez-vous ce T-Bird d'Aleut Transpolaire via le Conseil d'Athabascan et puis dans le Maine ? Une livraison ? »
« Peut-être… »
« Je vois… À qui cette livraison était-elle destinée ? Attendez, laissez-moi deviner… » Il la regarde en haut et en bas lentement, sa lèvre supérieure recourbée en un léger rictus amusé. Son regard fixe vient pour se reposer sur son datajack et puis glisse en bas de son corps trapu. « Vous ne ressemblez pas au genre de fille qui va faire de l’alpinisme pour le fun. Cette livraison était-elle pour quelqu'un vivant là-bas ? Peut-être un groupe entier de « quelqu'un » ? »
Sa tête se soulève, et ses yeux étincellent : pendant un instant il semble qu'il reste un peu de vie en elle. « Si vous le savez déjà, pourquoi faites-vous ceci ? Pour secouer le cocotier ? » Le deuxième homme marche vers elle, étend une main sur son épaule – dans un geste familier, presque fraternel. « Tout ce dont nous avons besoin de vous ce sont des noms, des détails, quelque chose pour pouvoir travailler avec …
Vous payent-ils bien ? »
« C’est correct. »
« Plus que correct ! Vu les problèmes vous nous avez donnés. Allez, juste un nom. »
« Je ne peux rien vous dire. »
Le premier homme marche vers elle, l’encerclant vers sa droite, il s’accroupit. « Je pense que vous le pouvez. Si pas maintenant… et bien … le réservoir de privation sensorielle vous attend. »
Elle se tapit contre la chaise comme s’il l’avait giflée. « Je ne peux pas vous le dire !
S’il vous plait... Je ne peux pas. »
« Et nous discutions si bien... » ajoute l'homme aux yeux bleus d’une voix fatiguée.
« Non vraiment. Je ne peux pas. Ils ont dit que cela me tuerait ! » Elle se presse contre la chaise autant qu’elle le peut, chaque muscle tendu comme fil.
Seule la poigne de l’autre l'homme sur son épaule la maintient assise, elle est parcourue de secousses tellement nerveuses que sa peau semble onduler. .
L'homme aux yeux bleus se met à genoux devant elle, cherchant à ce qu’elle fixe son regard sur lui. « Ils ne peuvent pas vous blesser tant que nous prenons soin de vous. Si vous nous parlez, vous ne devez pas vous inquiéter d’eux. »
« Vous ne comprenez pas. Il m'a parlé. Il me tuera avec le feu des cieux. La colère de Dieu se déversera et tous ceux marqués du signe du dragon ou de la bête, ceux qui trahissent les saints, seront harassés par l'épée flamboyante. » Elle parle comme si elle lisait une prière : ces mots étranges semblent la calmer. Elle secoue mollement la tête en signe de dénégation : « Comment pourriez-vous prétendre vous cacher de la « Ville de Dieu » ? »

En une fraction d'une seconde, son expression demeure vide et gelée. Alors l'horreur envahit son visage. Ses yeux s'élargissent jusqu'à ce qu'ils semblent presque déchirer sa tête de l'intérieur.
Alors les flammes chauffées à blanc clignotent comme une explosion nucléaire. Des vagues d’ondes de choc martèlent les deux hommes qui cramoisissent, des pieds à la tête, explosant leurs chairs de leurs corps. Elle, au centre du feu, n’est visible nulle part. Avec un bruit de sifflement mou, l’écran tridéo s’enneige.

en tout la vidéo dure moins de 15 minutes

« La jeune femme »
« l'homme aux yeux bleus »
« l'homme aux yeux foncés »

[Légion(Major Turbop)]

je fais voire la vidéo a Gor:
on va peut-être faire attention en allant visiter la prison !

[MJ(Souricette)]

@MarcusS, @Major Turbop :
Et maintenant, que faites-vous ?

[Gornazbad(MarcusS)]

Il nous faut en savoir plus sur cette prisonnière !
Pourrais-tu faire le tour des vidéos où elle apparait ?
Il nous faudra aussi connaître le numéro de sa geôle ainsi que toutes les données la concernant.

[MJ(Souricette)]

  je note la pertinence des questions
reste à savoir comment vous vous procurez les réponses

[Légion(Major Turbop)]

Je peu tenter de trouver son parcoure en fonction de son arrivée dans la salle d’interrogatoire.

recherche de données

6 dés lancés

1,5,2,3,1,6

2 Succès à 5+

Mais on va devoir se rende dans le niveau des geôles.

j'active son ouverture par intermédiaire du log-in « spécial »

[MJ(Souricette)]

les datas concernant l'étage carcéral sont effectivement "réservées".
Il va falloir se brancher directement sur la console du PC de sécu spécifique du -1.
et vous n'avez pas les accréditations pour le faire.
Nota : votre "premier étage disponible et praticable" que vous avez trouvé, c'était le -2 !
Le -1 contenant tous les gravas de tous les étages supérieurs. 

A part ces petits détails techniques, l'ouverture de la porte du -1 ne devrait pas poser problème.

[Légion(Major Turbop)]

Sauf que c'est légèrement encombré...
En fait, ce serai la pilote chelou qui a fais péter la base ?!

Je propose que nous continuons de visiter la base pour trouver d'éventuels survivants puis si on trouve rien d'autre :
1/on prépare un camps
2/on dégage mes drones
3/on répare le zing
4/on reviens a la civilisation

[Gornazbad(MarcusS)]

Tu es sur qu'il n'y a rien d'autres sur les enregistrements et dans les données de sécurités ?
Les radars ont bien du détecter quelque chose, un missile, un avion ou autre ?

[MJ(Souricette)]

La surveillance aérienne se trouvait au +4.
Si les radars avaient détecté quelque chose, les infos correspondantes auraient été enregistrées en doublon au PC de sécu où vous vous trouvez.
Il n'y a pas d'enregistrement de ce type depuis votre départ en mission (qui, lui, est enregistré comme décollage de la base).

[Légion(Major Turbop)]

Au cas ou je fais une dernière tentative de recherche d'information
recherche de données :

6 dés lancés

6,1,3,4,4,4

1 Succès à 5+

Désolé Lieutenant, mais j'ai rien trouvé d'autre ; la dernière vidéo de l’extérieur enregistrée dans la base de donnée du PC, c'est notre décollage !

Je te propose de prendre des relevés sur les restes du niveau -1 pour avoir une idée de l'origine de l'explosion.

[MJ(Souricette)]

« des relevés »  ??
Va falloir m'expliquer « Quoi » et surtout « Comment » ...

[Légion(Major Turbop)]

nous pourrions prendre des relevés avec mon drones pour des images; ainsi que des échantillons au niveau de l'emplacement de la geôle qui a abrité la pilote de la vidéo.
les images serviront a trouver la source de l'explosion. 
les échantillons pourrons donner une idée de la nature de l'explosion.
Si nous n’avons pas les compétences suffisante en investigation scientifique, les données pourront être exploité quant nous serons retourné en ville.
Puis, si nous ne trouvons pas de survivants il va être difficile de justifier que nous revenions les mains dans les poches alors que plusieurs centaines de militaires sont morts; dans une base top secret ou nous nous trouvions!
Tu la sent venir l'embrouille lieutenant ?

[MJ(Souricette)]

Sans vous 2,
Le dernier effectif validé de la base était de « 783 militaires ».
Le nombre de personnes extérieures au service recensé dans les locaux était de « 1 personne interceptée ».

[Gornazbad(MarcusS)]

Oui, c'est une bonne idée la topographie des lieux avec le drone.
A-t-il des capteurs d'explosifs ou de substances du même genre ?

Il est qu'elle heure actuellement, pour savoir ce que nous pouvons encore faire.

[MJ(Souricette)]

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