Hùrin plisse les yeux en observant les deux couloirs éclairés par une lueur étrange, son instinct lui soufflant que cette lumière n’a rien de naturel. Il garde le silence un instant, écoutant le moindre écho, puis se tourne vers ses compagnons.
La lumière est belle… mais elle ment. Méfions-nous.
Il désigne le couloir du nord d’un léger mouvement de menton.
Allons par là. Lentement, et les sens grands ouverts.
Puis, avançant en tête à pas mesurés, il pose la main sur le mur pour garder le contact avec la pierre, scrutant chaque recoin dans la pénombre mouvante.