Chapitre 4 - Lueurs et sangliers

[Bragan(MasterMurray)]

Xanth attend!

Mais Bragan ne sait pas quoi ajouter. Jépoto est une mule sans défense. Bien Xanth répondrait que ces la loi de la nature et que si il n’est pas en mesure d’y vivre, bien qu’il serve de repas à d’autre.

Bragan comprend que Jépoto est peut-être en danger, mais lui partir seul dans la forêt pourrait le mettre à risque.

Il pousse alors un puissant cri. Jépoto! Revient!

Il attend voir si l’animal revient.

[Hùrin(lolo)]

   Hurin pénètre dans le repaire encore imprégné de l’odeur âcre des orcs. Il avance prudemment, l’arc en main, scrutant chaque recoin à la lueur vacillante des torches laissées au sol. Ses pas soulèvent la poussière et des éclats d’os craquent sous ses bottes. Il écarte quelques peaux grossières, renverse un coffre rudimentaire, examine des sacs éventrés ; son regard cherche la moindre trace de documents, d’armes de valeur ou d’indices sur d’autres bandes orques. Chaque trouvaille — ou absence de trouvaille — est évaluée avec attention, Hurin restant concentré et silencieux tandis qu’il fouille méthodiquement l’antre sauvage.

[Grub Guld(Sgt String)]

Laissant l'anachorète entre les mains expertes d'Orésthraïa, Grub s'avance à la suite d'Hùrin, non sans jeter un regard à l'elfe :

- Tu vas f'nir par lui décoller la tête. Ou tu vas lui foutre une mandale et y s'en r'lèv'ra pas. Tu vas l'crever.

Il sourit puis suit le moine. Arrivé au repaire des orcs, il bouche son nez.

- Ça pue la mort ici ! J'espère qu'on va trouver un truc utile. Qu'ça serve à quequ'chose qu'on soit dans ce merdier. 

Il sourit une nouvelle fois. Décidement cette expérience avec la licorne laisse des traces :

- P't-être que j'vais r'trouver d'autres z'oreilles !

Jet de Investigation
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[Orésthraïa]

Bragan s'avance jusqu'à la lisière des bois, en suivant les traces de Jépoto, mais ne s'aventure pas au-delà. Après plusieurs minutes passés à l'appeler, la mule montre enfin son museau. L'un des sacs est éventré, et a perdu du matériel, probablement le fruit de la fuite de l'animal dans les bois, mais Jépoto va bien. Il revient vers Bragan et le renifle, attendant sa récompense.

De l'autre côté, les explorateurs fouillent les différents antres, pendant qu'Elithariel examine l'autel au sommet et qu'Oréshtraïa monte la garde au sommet. En fouillant bien les lieux, en dessous des tas d'immondices ou des paillasses, vous remarquez deux endroits où des objets ont été enterrés.
Dans le premier, vous trouvez une étrange fiole d'un liquide gris sirupeux ressemblant à du fer liquéfié.
Dans le second, vous trouvez 3 parchemins qu'il vous faut identifier.

Le plus surprenant, sans aucun doute, est la présence de l'un des anachorètes que vous avez tué, en vie, mais lourdement blessé, dans l'un des lit. Celui-ci dort profondément et les blessures mortelles se sont refermés.

[Bragan(MasterMurray)]

Bragan est heureux de voir ça bonne mule revenir. Il lui fait une caresse avec sourire et murmurant des paroles réconfortante.
Il lui donne une caresse morceau de ration, J’ai rien de mieux à donner pour le moment mon ami.

Il le ramène et aide les autres à fouiller.

Quoi? Mais comment? Attachons le!

Bragan sort ça corde pour attacher l’orc.

[Grub Guld(Sgt String)]

En découvrant l'anachorète, je m'adresse à Hùrin :

- On va pouvoir buter l'autre. Va chercher l'elfe qu'y fasse la traduction, j'le surveille. Et demande à Elithariel  si y peut v'nir aussi pour voir c'qu'y peut faire avec les parchemins et la fiole bizarre.

Grub sort son maillet et se prépare à assommer le blessé s'il se réveille ou s'il tente quoique ce soit d'autre.

[Hùrin(lolo)]

   Hùrin reste figé un instant, ses yeux allant des parchemins à la fiole étrange, puis au corps ensanglanté de l’orque blessé. Une expression mêlée de surprise, de prudence et de dégoût traverse son visage lorsqu’il soulève délicatement la fiole, observant la viscosité métallique du liquide à l’intérieur. Il murmure quelque chose entre ses dents — un juron bref, discret, presque respectueux devant ce qu’il ne comprend pas.

  Lorsque Grub lui lance sa phrase, Hùrin relève les yeux vers lui, encore concentré mais désormais déterminé.

Pas si vite… il respire encore, et tant qu’il parle, il vaut mieux qu’il reste vivant.
 S’il y en a d’autres dans les parages, on doit le savoir avant qu’ils nous tombent dessus.
  Il range soigneusement les parchemins dans sa sacoche, sans quitter l’anachorète du regard, puis désigne la fiole d’un geste prudent.

Et… ça. Je préfère qu’Elïtharïel mette les yeux dessus avant qu’on tente quoi que ce soit.
 Ça pourrait être de la magie, une malédiction… ou pire.
 Il hoche la tête vers Grub, son expression passant à quelque chose de plus grave, presque militaire.

Garde-le. S’il bouge, crie. Je vais chercher Elïtharïel… et Oresthraïa avec.
 On va tirer tout ce qu’on peut de celui-là avant qu’il rejoigne les autres.
  Sans attendre davantage, il se retourne et quitte le repaire à grandes enjambées, l’arc encore en main, l’esprit déjà fixé sur l'interrogatoire à venir.