Je rejoins le groupe, ignorant les carcasses des volatils morts. J'écoute les propos des éclaireurs en hochant la tête. Le bétail risque de nous ralentir mais il nous offre une réserve de viande qui pourrait se révéler utile. Tout ce qui peut servir à quitter ces terres maudites et à traverser ce royaume chancelant est bon à prendre. Il me tarde de marcher à nouveau sous les frondaisons de Davokar, mais je sais que la route est encore longue. Ma voix rauque reprend aux propos du gobelin :
Une réserve de viande fraîche est un atout précieux quand on marche dans une terre inhospitalière.