Je jette un œil aux falaises et aux hauts-fonds, et je me cramponne au bastingage en me disant pour me rassurer que le pilote de l'Amethyste connait son travail et qu'il emprunte ce chenal régulièrement. N'empêche. On est bien peu de choses face à l'océan.
Et puis la fin des explications de Grandes-Guiboles me parvient.
Des naufrageurs Kobolds...
Par principe, je vérifie que j'ai bien mes armes à portée de main - en regrettant d'avoir dû remiser ma cotte de maille le temps de la traversée - et je me fais un devoir de surveiller la mer et les falaises.