Hùrin descend l’escalier et rejoint la salle où l’orc est maintenant solidement ligoté. Il observe un instant le travail des deux nains : cordes serrées, nœuds solides, aucune chance pour le prisonnier de se débattre. Un léger sourire se dessine sur son visage, mêlant satisfaction et soulagement. Il s’approche, mains posées sur les hanches, et incline légèrement la tête.
Beau travail, vous deux. Il ne risque pas de bouger d’un pouce comme ça.
Son regard glisse ensuite vers l’orc attaché, méfiant mais calme.
Je n’parle pas un mot d’orc, donc je vous laisse la main.
Orésthraïa devrait arriver pour faire la traduction. On aura peut-être enfin quelques réponses.
Il se place ensuite à côté du prisonnier, silencieux mais prêt à intervenir si nécessaire.