Hùrin observe le cheval squelette avec calme, son regard toujours attentif aux moindres mouvements de la créature. Il souffle doucement, presque apaisant.
Je ne parle pas la langue des bêtes revenues d’entre les morts… mais celle du silence et du respect, peut-être qu’elle suffira.
Il fait un pas en avant, lentement, les mains bien visibles et ouvertes, pour ne pas paraître menaçant.
Il ne nous veut aucun mal.
Restons calmes… et avançons sans crainte.
Puis, avec une prudence empreinte de respect, il continue d’approcher, chaque geste mesuré, prêt à réagir si l’attitude de la créature change.