Voyant que Théodore est maîtrisé, j'ouvre mon sac et en retire les chaînes, les menottes et la bâche. Je me glisse ensuite vers la porte de la chambre pour jeter un coup d'oeil par la serrure. Inutile de tendre l'oreille tant que Gabrielle ne relâche pas son sort, donc je préfère surveiller l'arrivée éventuelle d'un ennemi par d'autres moyens.