Hùrin acquiesce d’un signe de tête, partageant l’urgence de se déplacer avant d’être repérés. Sans un mot de plus, il s’élance vers la lisière de la forêt, ses pas aussi légers que le vent. Une fois à couvert, il s’accroupit derrière un épais rideau de feuillage, dégage son arc et encoches une flèche, le regard fixé sur la clairière.