Hùrin s’immobilise à quelques pas du cheval squelette, le regard plongé dans les orbites vides de la créature. Un étrange calme s’installe entre eux, comme si une compréhension muette passait dans l’air figé. Le cheval incline légèrement la tête, et Hùrin ressent, sans mots, une forme de bienveillance… une ancienne douceur, encore présente malgré la mort.
Un léger sourire éclaire alors son visage. Il pose une main doucement sur le flanc osseux de l’animal.