Je souris au premier garçon qui rentre derrière moi, esquisse un non, merc... poli à propos des bonbons avant d'être interrompue par le deuxième qui prend ses aises; je le regarde monter sur la banquette pour ranger sa valise et piocher sans y être invité sa main dans le sachet de friandises. Je l'écoute parler, un peu surprise par tant de... "familiarités". Puis, reportant mon attention sur le premier, j'en reviens à sa question: Non, mais je te remercie. On va la laisser là; au moins, si le train freine brusquement, on aura pas le crâne fendu ! dis je en rigolant.