Les mots d'Eroll sortent à peine de sa bouche que les glyphes qui entourent l'étrange décoration s'animent, dégageant une étrange lueur bleutée similaire à celle de la boussole. Dans un léger chuintement, une série d'engrenages semblent prendre vie sous la structure, le bruit caractéristique des dents de bronze résonnant doucement à travers le carrelage de la piscine. En surface, rien ne bouge.
Les glyphes représentent clairement des lettres grecques stylisées, entourées de symboles kabbalistiques, mais l'ordre des lettres ne veut rien dire. La construction en elle-même est deux fois plus large que haute, avec en son centre une sorte de sphères gravée de fin sillons. Cinq griffes viennent l'enserrer et la maintenir contre le sol, un peu enfoncée.
Cet ouvrage vous fait clairement penser à une gravure, mais il manque quelque chose, un élément qui fait que le dessin général vous échappe.