Chapitre 1: La clinique

[Kiley May(COS)]

  Ravie d'être entrée et de retrouver ses affaires, Kiley est tout de même inquiète d'être prise au piège dans cette pièce par la suite.

  Elle se tourne vers Ethan elle aussi.

oui, ferme bien la porte Ethan
Je n'ai pas envie qu'il y en ai un qui entre
Ensuite, je propose que l'on fasse le moins de bruit possible fin de ne pas les attirer et espérer qu'ils vont continuer leur chemin

  Juste après, elle va récupérer ses affaires et commence à fouiller s'il n'y aurait pas autre chose d'intéressant

chercher
Lance 1e10+1

(2)+1: Total = 3

[Nathan Gougeon(Darkwind)]

Une fois rentré dans la pièce, il se précipite pour faire passer les autres puis referme la porte avant de la barré et de vérifier avec Ethan que cette dernière resterait fermé. Il se dirigea ensuite vers ses affaires personnelles avant de faire le tour vite fait pour noter ce qui était encore là. Il se dirige ensuite puis faire le tour de l'inventaire présente dans la pièce, ramassant ce qui pourrait servir comme des outils, lampes torches, piles, radios portatives. Il tente de recomposer une trousse de premier soin avec celles restantes.  Après ces emplettes à la va vite, il se dirige vers les caisses militaires pour continuer de ramasser des choses utiles.

Il faut se dépêcher, nous n'avons clairement pas le luxe de rester trop longtemps dans cet endroit, surtout avec ce qui se trouve derrière la porte

[Ethan(MasterMurray)]

Ethan donc directement sur son Katana et le prend immédiatement. Il reprend aussi son arc qu’il enfile sur son dos, cherchant des flèches si possible.

Ensuite il prend 2 radios, qu’il prend le souk de fermer avant de mettre dans le font de son sac, deux lampe de poches, il prend aussi un matraque électrique avant de ce tourner vers les armes à feu pour voir ce qui est disponible, car ça va prendre du gros calibre pour tuer ce qui s’en vient.

[lolo]

    Nathan referme vivement la porte derrière eux, ses doigts se crispant sur la poignée alors qu’un bruit sourd résonne dans le couloir. Il enclenche le verrou sans attendre, juste avant qu’un grondement de pas précipités ne s’élève à quelques mètres. Le métal de la porte vibre sous la résonance croissante des gémissements rauques et des halètements inhumains. Un coup retentit violemment contre la paroi, faisant sursauter tout le monde.

   À l’intérieur, personne ne perd de temps. Chaque membre du groupe se rue vers la table d’appoint et les casiers militaires ouverts. Les sacs personnels sont vite identifiés et récupérés.

    Puis, en fouillant davantage, ils tombent sur une masse de matériel manifestement destiné à d’autres. Une étiquette portant le prénom ou un surnom est parfois encore visible, accrochée à une lanière ou à un morceau de ruban adhésif.

Voici tout ce qu’ils trouvent, réparti dans des casiers ou des caisses :

Armement :

3 couteaux de chasse, bien aiguisés

2 pistolets semi-automatiques (9mm) avec chacun 2 chargeurs pleins

1 revolver .38 avec 12 balles restantes

1 fusil à pompe à canon scié, muni de 4 cartouches

1 arbalète avec un carquois contenant 5 carreaux

2 matraques télescopiques

1 hache de secours (type hache de pompier)

1 pied-de-biche ensanglanté

1 matraque électrique (fonctionne toujours, batterie faible)

1 spray de défense (poivre, presque vide)

Protection / Équipement :

3 lampes torches (2 fonctionnelles)

2 gants renforcés (type anti-coupure)

4 sacs à dos militaires de taille moyenne

1 radio portative (éteinte, batterie absente)

2 talkies-walkies (dont un cassé)

1 paire de jumelles

3 masques chirurgicaux usés

1 bâche de survie pliée

1 briquet tempête (fonctionne)

1 boîte de munitions (10 balles 9mm et 3 cartouches de fusil)

Objets personnels divers :

Un journal intime partiellement calciné

Une photo de famille collée dans un médaillon

Un paquet de cigarettes entamé

Une petite trousse de maquillage

Une boîte de médicaments anxiolytiques

Une bible avec annotations manuscrites

Une montre connectée hors service

Un carnet de croquis avec portraits de personnes (sans noms)

Un peigne en ivoire gravé

Une gourmette d’enfant au nom de « Mila »

    Alors qu’ils identifient tout ce qu'ils voient, un nouveau coup sec frappe la porte de métal. Un râle guttural s’élève juste derrière, suivi d’un frottement moite et pesant contre la paroi. Des doigts morts glissent contre la surface, provoquant un bruit de frottement qui fait crisser les nerfs.

  Puis vient le plus inquiétant : le cliquetis répété de ce qui semble être des dents heurtant le métal, comme si une mâchoire cherchait déjà à déchiqueter ce qui lui résiste.

   La lumière, déjà faible, semble vaciller sous la tension collective. Les morts sont là. Et ils savent.

Je vous laisse me dire ce que vous prenez.
Attention à l'encombrement et aux poids total, cela pourrait vous handicaper 

[Ethan(MasterMurray)]

Je vais reprendre la prise de matériel, vue que tu as faite une liste et que la première ne dois plus être valide j’imagine?

Ethan ayant prit son Katana commence à fouiller étalant ce qui est utile sur la table.

Il étend sur la table les armes à feu, de son côté il prend l’arbalète qu’il va pouvoir utiliser plus tard, mais la discrétion n’est pas de mise pour le moment, il regarde tous le monde.

4 armes à feux, qui sont les meilleurs tireurs?
Il regarde Nathan attendant de voir ça reponse.
Le moins bon tireur va prendre le Fusil à pompe et à moins qu’on trouve une autre sortie dans la minute qui suit, nous allons devoir les affronter et le fusil à pompe est notre meilleur arme, elle va faire du ravage en partant.
Les meilleurs tireurs prennent les semi-automatique. Ils vont pouvoir faire des dégâts bien placés. Prenons chacun un sac et je prendrais les gants Antho-coupure, car je vais combattre avec mon Katana en avant et tenter de vous protéger .

Il regarde les filles en disant ceci, mais rien de sexiste ou rabaissant dans ces propos, il veut vraiment protéger ces amis… non pour lui ce sont des sœurs.

Répartissons les choses équitablement pour le reste.

[Kiley May(COS)]

   Kileay laisse Ethan fouiller les affaires présentes et regarde un peu à l'arrière avec lui.

J'ai récupéré mon couteau mais je me débrouille pas trop mal avec une arme à feu.
Ce revolver m'intéresserait bien si cela ne vous démange pas
et je prendrais bien aussi une lampe torche

  Elle se tourne inquiète vers la porte.

Ils sont juste derrière.
On devrait ne pas trop se faire remarquer et ils partiront peut-être d'eux même
mais restons sur nos gardes

[Rebecca Moya(Sgt String)]

Ne trouvant pas de boitier électrique afin de remettre le courant en route, Rebecca récupère ses affaires personnelles puis pioche dans les différents objets présents dans la pièce.

- Je suis plus à l'aise avec une arme de poing qu'avec un revolver.

Elle s'équipe donc d'un couteau de chasse et d'une matraque télécospique. Puis elle s'empare des jumelles et du briquet. Elle sourit en voyant la petite trousse de maquillage, le peigne et la gourmette qu'elle s'empresse de ranger dans son sac.

- Restons quelques instants sans faire de bruit et voyons s'ils s'en vont. Sinon il faudra tenter de faire une diversion.

Pendant qu'ils attendent sagement, le belle blonde observe minutieusement la pièce et cherche après une issue de sortie. Elle lève la tête et cherche après un conduit d'aération.

chercher
Lance 1e6 +3d6

(+1[1]+12[3, 6, 3]): Total = 13

[Ethan(MasterMurray)]

Ethan prend le fusil à pompe, le semi automatique qu’il met à ça taille, avec le reste qu’il avait déjà prit il enfourne dans son sac, les médicaments, les cigarettes, la bible, le journal intime, le médaillon et les portraits. Il veut étudier tous ces objets  si un jour il a le temps.
Il met aussi accessible une lampe torche sur son sac.

Maintenant on fait quoi? On doit arrêter de faire du bruit aussi.

Il observe autour et reste prêt en buvant à l’une des gourdes d’eau disponibles.

[Nathan Gougeon(Darkwind)]

Lorsque ce dernier aperçoit les sacs militaires, il s'empresse de transvider son matériel dans son nouveau sac. Il y ajoute deux trois babioles comme la radio portative ainsi que les walkie-talkie. Il attache fermement le pied de biche sur le côté du sac avant de placer une des armes semis automatique à sa ceinture en mettant les chargeurs à porter dans ses poches. Il enfile les gants renforcés avant de saisir la hache de pompier et se tourne vers les autres pour la suite des choses

[lolo]

    Chacun s’empare rapidement d’un sac à dos militaire, répartissant silencieusement les armes, munitions et objets utiles. Nathan ajuste les sangles d’un sac visiblement trop rigide, Ethan passe en revue les chargeurs et glisse le revolver dans une poche latérale. Rebecca, les mains tremblantes mais les gestes assurés, remplit le sien et Kiley, plus méthodique, range soigneusement tout ce qu’elle peut dans les compartiments intérieurs.

    Le silence s’impose naturellement, seulement rompu par le léger cliquetis des boucles métalliques et les souffles encore irréguliers de chacun. Tous se figent, les oreilles tendues, tandis que Rebecca commence à inspecter fébrilement les murs, les étagères, le plafond. Elle cherche une bouche d’aération, une trappe oubliée, un soupçon d’ouverture. Mais tout autour d’eux, il n’y a que du béton, des rangées de métal et un unique point d’accès : la porte par laquelle ils sont entrés.

   Le temps semble s’étirer. Chaque seconde s’allonge, épaissie par l’angoisse. Les battements de cœur couvrent presque le reste, jusqu’à ce qu’un premier changement se produise.

    Le métal cesse de vibrer. Aucun nouveau coup ne résonne contre la porte. Puis les râles — ces gémissements profonds, affamés — commencent à s’éloigner. Leurs échos, d’abord omniprésents, deviennent moins présents, comme étouffés par la distance. On entend à peine le clapotis irrégulier des pas traînants, des membres qui glissent contre le sol ou cognent de manière aléatoire les murs du couloir.

    Il y a aussi cette sorte de silence lourd qui s’installe derrière la porte, comme si quelque chose — ou plusieurs choses — se détournaient lentement, préférant suivre une autre piste.

    Puis viennent quelques signes plus nets : un raclement sourd de griffes ou d’ongles contre une autre surface métallique, plus loin ; un objet qu’on fait tomber — peut-être un chariot — renversé dans un bruit métallique lointain ; un gémissement plus aigu qui s’éloigne dans une direction opposée.

    Petit à petit, la tension dans l’air se détend, mais l’inquiétude ne disparaît pas. La horde ne s’est pas rendue. Elle a simplement changé de cap.

[Rebecca Moya(Sgt String)]

En entendant la horde qui commence à s'éloigner, Rebecca fait un signe à ses compagnons de garder de continuer à garder le silence. Après quelques minutes, elle dit à voix basse :

- Attendons encore un peu qu'ils s'éloignent. Il n'y a pas d'autre issue que celle que nous avons prise pour entrer ici. Il va falloir repasser par là pour sortir.

Elle prend une inspiration :

- Mais avant de nous jeter dans la gueule du loup, il faut savoir dans quelle direction, nous allons nous diriger. Est-ce que mentalement quelqu'un a une idée de la situation dans ce bâtiment ? Par où devons-nous aller pour sortir d'ici.

Elle laisse le temps à ses compagnons de répondre avant d'ajouter :

- Pour moi, la seule solution est de retourner au sous-sol. J'ai vu qu'il y avait des voitures. C'est notre seul moyen pour nous échapper d'ici. Mais je n'ai vraiment pas envie de tout retraverser pour y arriver. Quelqu'un a une autre idée ? Sortir par les toits et appeler du secours ?

[Kiley May(COS)]

  Rassurée de les entendre s'éloigner, Kiley se tourne vers Rebecca

oui, tu as raison
Attendons un peu avant de sortir

Elle se tourne vers les hommes
He les mecs
on compte sur vous pur ouvrir la marche.

puis se retournant vers Rebecca ppir lui répondre
Je ne sais pas trop
On a aucune idée où ils sont partis et en plus il y en a surement plein d'autres en bas.
Le toit ne serait pas une mauvaise idée mais il ne faudrait que l'on se trouve coincés là-haut

[Nathan Gougeon(Darkwind)]

Nathan s'accroupi pour rester sur place et faire le moin de bruit possible.

Je suis d'accord pour rester un peu plus longtemps dans ce silence afin de laisser le temps à cette chose et à la horde de partir un peu plus loin

Devant l'affirmation de Kiley, il n'a pas vraiment le choix alors accepte sans broncher
Pas de problème, on passera devant vous

Curieux de savoir ce qu'ils ont vu au sous-sol
Il y avait quoi au sous-sol ? parce que vous êtes remonter en courant sans vraiment d'explication et nous voilà ici

J'imagine que maintenant, ça doit être peupler de mort au niveau des chambres, parce que je ne crois pas que les forces présentes ai vraiment voulu reprendre le bâtiment par la force, sinon nous aurions entendu des coups de feu pour sure

[Ethan(MasterMurray)]

Ethan soupire de soulagement, au moins la porte est un havre sur. Il laisse les autre parler et faire un plan.

J’ai l’impression que cette créature va reprendre le chemin du sous-sol.

J’aurais tendance à attendre un bon bout et qu’on dorme un bon coup avant de faire quoique ce soit. Ensuite je ferais le tour de tous l’étage ici porte par porte pour rassembler le plus de chose possible et voir si une sortie est possible autre que d’affronter ce salle monstre. Une chose est sur, les armes à feu doivent être notre dernier recours, on doit prioriser les armes qui ne font pas de bruit. On va peut-être trouver une sortie de secours ou une échelle qui descend sur le côté de la bâtisse.

[lolo]

    Dans le refuge rassurant de la réserve, les quatre survivants s’accordent un instant de répit. Assis à même le sol ou appuyés contre les étagères métalliques, ils chuchotent à voix basse, leurs paroles étouffées par la prudence. Les sacs reposent à leurs pieds, ouverts pour permettre un accès rapide à ce qu’ils contiennent. Les regards s’échangent souvent, encore hantés par ce qu’ils ont vu. Chacun évite de parler trop fort, de peur d’attirer à nouveau ce qu’ils ont tout juste évité.

    Le silence revenu leur paraît presque irréel après les hurlements, les coups et les râles. Rebecca garde les yeux fixés sur la porte, guettant la moindre ombre sous l’interstice. Kiley, agenouillée près du mur, nettoie nerveusement une lame qu’elle vient de trouver. Ethan tourne lentement un chargeur dans ses mains, le visage figé par la tension. Nathan, toujours en alerte, jette un regard de temps à autre vers le plafond, comme si un danger pouvait surgir de là aussi.

  Puis, sans prévenir, le calme est brisé.

     Une voix. Faible d’abord, presque noyée dans l’écho du bâtiment déserté. Une voix d’homme, affolée. Elle résonne faiblement dans les couloirs, portée par la réverbération métallique des lieux. C’est un cri de panique. Un appel à l’aide déchiré par la peur. Il se répète, plus pressant. Haché. Désespéré.

Quelqu’un, là-bas, est encore vivant.

Ou du moins… il l’est encore pour l’instant.