Message #1088651

[moontaz]

"Ben"

Les deux gardes en faction ne sont pas spécialement tendus ou agressifs malgré les lances et les épées qu'ils abordent. Leur présence est dissuasive principalement. Ils gardent l'accès aux troupeaux qui sont la richesse de la ville. Il serait facile de voler une bête ou deux.
Comme Livio le précisera d'un ton entendu, il n'en faudrait que trois pour démarrer un troupeau concurrent ! Djaro ne fait que protéger son cheptels. Pragmatisme. Et pour la vue, ils haussent un peu les épaules et te conseillent de te rendre sur la colline d'en face pour avoir une vision plus globale de la ville car les remparts sont interdits aux civils.

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Quand à l'ordre régnant, ils opinent du chef à tes propos. Tous les soldats de la ville ont à coeur que cette fête soient parfaite.  Djaro a  toujours été la porte de la montagne, maintenant ses ambitions et son rayonnement doivent s'accroître et cette fête ne peut qu'y contribuer.
Très silencieux et en retrait Livio ne commence à te parler qu'une fois éloignés des gardes.

Livio

J'crois bien que Sami a raison lorsqu'elle dit que certains marchands ne sont pas honnêtes. Je ne m'attendais pas à cela. Pas à cette ville... Elle est loin des descriptions que mes comparses m'en ont toujours fait.. On va se renseigner un peu plus.
Un nouvel arrêt vers le change vous apprend que l'on prend sans hésiter les pierreries, les métaux précieux ou non, les armes et certains tissus. Que le troc fonctionne également en l'absence de monnaie locale même si c'est soumis à l'appréciation des deux parties et qu'il faut poser la question avant d'acheter. Et  enfin, que si c'est la vie humaine que vous voulez échanger alors c'est à l'arène qu'il faut aller. C'est le seul endroit de la ville où l'achat des humains est toléré.
Une spécialité des siphonneurs apprendrez vous.