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avril 19, 2024, 02:21:55
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AuteurSujet:  Par les chemins d'automne - acte V : Pont aux Haches  (Lu 130690 fois)

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Hors ligne Arthur de Castelroc
(Aytan)

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Une fois Béorn parti, Arthur revient prés de ses nouveaux "camarades", et profite d'une pause dans l'échange entre Aube et la jeune femme <pense:>(Cou-Anne Linne ?) pour ajouter un commentaire.

Je vous prie de m'excuser de m'être ainsi immiscé dans votre conversation, mais j'ai eu peur que l’incompréhension naissante entre vous ne conduise à une catastrophe inutile. Pas forcément pour vous, d'ailleurs. Vu votre allure, j'aurais peut-être plus craint pour le Sire de Béorn.

Arthur dévisage de haut en bas Davog en formulant ces mots.
Retournant son attention sur Kwan Yin, il ajoute :


Je suppose que vous venez d'une contrée éloignée Cou-Anne Linne, et je ne suis pas certain que vous ayez saisi les subtilités diplomatiques qui se sont jouées ici. Le sous-entendu va beaucoup plus loin que ce qui est explicitement dit dans ces situations. En réagissant comme vous l'avez fait, vous ne laissiez plus aucun autre choix "honorable" à Béorn et à ses sbires que de vous attaquer, même s'ils ne l'avaient pas voulu. Son statut l'en empêchait et ses pairs ne l'aurait pas approuvé s'il s'était laissé faire. Ainsi en va t-il de la noblesse dans ces régions.

Réfléchissant à la curieuse remarque de le jeune étrangère, Arthur se permet de renchérir.

Bien sur, les hommes nés dans la chevalerie et la noblesse sont par nature très différents de ceux nés dans les fermes ou les commerces. Ainsi va et dit aller le monde. Je suis un noble, j'aurais fait un très mauvais commerçant et un fermier lamentable. En revanche, je suis né avec les capacités pour diriger, prendre des responsabilités lourdes et mettre mes sentiments de coté lorsqu'il faut faire preuve de grandeur d'âme ou de piété. Chacun a sa place sur terre au mieux de ses capacités naturelles, ainsi Dieu lui-même l'a établi en n'attribuant par exemple la royauté qu'à la noblesse.
 

 

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