Message #813934

[Astérion]

Coucou,

Solde de perso ! Perso à louer (gratis )

Alors j'ai une demande/proposition chelou, mais j'ai un perso dans les cartons que j'aime bien. Je l'ai joué un peu sur une partie avec règles "maison" mais ça s'est arrêté. C'était medfan (avec d'autres races en plus que des humains mais bon rien que je ne puisse adapater).

J'aimerais bien le rejouer... Je ne sais pas où, je ne sais pas avec qui

Voilà, voilà, si un "vieux" garde royal/de ville intéresse quelqu'un. 

J'écrivais plutôt jesaispascommentondit "en familier/argot" au cas où la précision ait un intérêt.

Si le genre de perso ou d'écriture intéresse quelqu'un et qu'il y a de la place quelque part... 

A votre bon cœur (je peux toujours tenter hein...)

Cordialement bisous, 
Asté'Milie

Théan Prayne

Détails Théan

Théan

Spoiler: "Rencontre Sylvan et confession vie de Théan"

- Je suis originaire de Castel-sous-lin et toi ?

Le jeune a l'air vraiment gêné. Je crois que c'était pas une bonne idée de venir boire un verre avec les nouvelles recrues, j'aurais du laisser ça aux lieutenants. C'est pas qu'ils savent mieux y faire que moi, enfin, pas vraiment... C'est surtout que les gamins sont moins impressionnés. Il a quoi là celui-là, vingt-trois ans ? J'ai une bonne dizaine d'années de plus et vu la bobine qu'il tire en me regardant j'ai l'impression qu'il croit voir son grand père. Je viens pourtant de m'enfiler quatre verres de gnôle du vieux Dralvus, et c'était pas des godets de fillette. Il devrait se rendre compte que je suis un mec chouette et décontracté nan ? Sûr que j'ai presque le ton d'un soiffard à c'te heure, ça met à l'aise normalement ça !

- T'es pas très causant c'est ça ? T'sais j'peux parler pour toi hein !

Sylvan Trixxe qu'il s'appelle, ça j'm'en souviens. Vient de j'sais plus où au nord du nord du nord, presque aux pieds des aiguilles.

- Je viens de Talbourg, souffle-t-il tout doucement mais ça m'en touche une sans faire bouger l'autre et je continue.

- Donc Castel-sous-lin... Tu connais ? C'est grand, c'est plat, y'a un castel puis on fait pousser du lin, commencé-je en rigolant doucement. Enfin on fait pas que du lin hein ! Des céréales aussi. Nan parce que tu vois le lin ça fatigue vachement not' bonne terre alors des fois faut changer. Du coup t'vois on fais aussi de l'orge et de l'avoine mais franchement Castel-sous-avoine ça faisait vraiment pouilleux t'vois ? Du coup c'est Castel-sous-lin.

Je finis mon verre d'une traite puis j'en recommande un autre, quitte à me mettre une mine autant pas faire ça à moitié. Le petit sait plus où se mettre je crois, il jette des regards désespérés autour de lui en espérant accrocher celui d'un sauveur mais que dalle. Yen a pas un qui bouge le petit doigt pour le dépêtrer du merdier. C'est beau l'esprit d'équipe, la cohésion tout ça.

- Le responsable là-bas c'est le bon Marke, le bon Marke Prayne, insisté-je, mon père. Il tient le coin d'une main de fer, magnanime, juste, tout ça. Un grand seigneur en puissance à ceci près qu'il règne que sur Castel-sous-lin quoi. Mais c'est déjà bien, c'est déjà bien ! A épousé une parfaite femme, ma connasse de mère, Ralia Prayne, originaire de Manastebal, sûrement envoyé là en punition pour se marier avec un clampin de cul-terreux. Ont eu deux magnifiques enfants : moi, et mon petit frère Frerin ! finis-je plus fort. Mon petit frère Frerin, t'as vu ? C'marrant hein ? Tu piges ?

Je m'enquille tranquillement un cinquième verre de casse-pattes, puis ça c'est sûr que ça me les brise les pattes. J'ai idée que Fendor va d'voir me ramener jusque mon lit.

- Bref, on vit tranquille : proprio terrien, aisé, bien bien. Ouais soyons honnête c'était pas pourri. Puis un jour quoi ? Un jour qu'est ce que je vois pas arriver chez nous ? Des elfes ! Des elfes mon p'tit ! Une tripotée, z'étaient au moins six. Je continue en chuchotant. Mais tu sais pas toi hein ? En tu sais pas mais y'a quelques terres qui leur appartiennent ici. Ouais. Ici. Chez nous. Pour sûr qu'on est plus habitué aux nains hein, puis à nous, on est bien habitués à nous. Mais figures toi mon gars qu'y a des elfes qui sont pas manchots ! Ni à s'triturer la nouille en profitant des richesses des autres, ni à se balader à poil dans la forêt. Ouais. Y'as des elfes qui taffent. Même qu'y en a qui sont éleveurs, puis z'ont de grands pâturages. Bah ce jour là c'était ça : une délégation de propriétaires de troupeaux. Y'avait sûrement des embrouilles de terrains mais moi j'en avais rien à foutre tu vois ? Moi j'avais d'yeux que pour elle.

Je me penche encore plus en avant vers Sylvan qui doit pu en pouvoir de mon haleine. Je dois pouvoir le rendre beurré rien qu'en lui soufflant dans les naseaux.

- Aegileif... Un nom à coucher dehors, un cul à coucher dans mon lit, me souviens-je les yeux brillants. Elle était belle comme un matin de printemps, clinquante comme le plastron d'un garde royale, aussi enivrante que... que la gnôle de Dralvus ? Nan, nan ça lui rend pas justice ça. C'était la perfection qui marche. La perfection ! Tu saisis !

Je me passe une main sur le visage et tend le bras vers le comptoir, je sens rapidement un gobelet de terre cuite sous mes doigts. Il est rapide Dralvus, puis m'a déjà vu dans cet état là. Pas souvent mais il a déjà vu.

- Puis elle m'a aimé aussi. Marrant hein ? Moi j'avais quoi dix-huit piges à tout péter, elle j'en savais rien mais en tous cas on s'est bien plu. Y'a qu'à nous que ça a plu. Mon père bof, il a trop rien dit. Ma mère, elle nous l'a bien fait payer.

Je reste silencieux de longues secondes, le gamin essaie de se lever mais je le rassoit violemment d'un coup sur la cuisse.

- On s'est mariés en cachette dans l'année. Quand ça s'est su, ses cons de parents à elle l'ont envoyée chez moi direct. Mais moi, chez moi, la matrone en avait décidé autrement. Elle a bien monté le bourrichon de mon père, puis je me suis retrouvé déshérité du jour au lendemain. On fricote pas avec les autres races tu vois ? Aegileif et moi on est descendus jusque la capitale, puis comme j'étais pas manchot je suis rentré comme commis aux cuisines du palais.

Sylvan ouvre une bouche toute ronde d'étonnement. Je ne le vois même pas tellement je suis plongé dans mes souvenirs.

- On vivait tout près d'ici, tout près d'ici, dans un tout petit boui-boui mais c'était chez nous. Quand ils se sont rendus compte au palais que j'étais un Prayne, un Prayne du lin quoi, bah je suis rentré dans la garde. Aegi et moi on a eu Ambre. Ma fille, mon joyau. On a déménagé dans un boui-boui plus grand. C'était bien, on était heureux.

Je bois le verre que le bistrotier m'a donné sans même que je lui demande réellement. Je sens même plus l'alcool, j'ai du encore me cramer le gosier.

- Dès qu'on a eu la môme mes beaux-parents ont rappliqué : mes seigneuries elfiques majestueuses, les Lasbelin. Les miens aussi de parents ils ont débarqué d'ailleurs. Mais ma mère on aurait cru qu'on la forçait de boire l'eau du bain. 'Fin on a tenté de rabibocher les familles tant bien que mal, on n'y est jamais vraiment arrivé. Jusqu'à y'a six ans. Aegi est morte en couche, finis-je abruptement.

Sylvan gémit, entre compassion et horreur : le désir de partir en me plantant là se fait si fort que j'entends presque ses genoux lui crier de se faire la malle.

- Puis y'a eu Aegor, mon fils merveilleux, dis-je en éludant complètement la disparition de ma femme. Puis Nana, qu'est venue m'aider. Avec une gosse de neuf ans et un bébé faut dire qu'en tant que lieutenant de la Garde j'avais de l'occupation à plus savoir qu'en foutre. Puis c'était devenu ça la famille : papa, fillette, bébé et nounou. Les mois ont passé puis là ça a été l'invasion. Aaron, Tethariel et Anders, présents comme jamais. J'en ai vu des oreilles pointues. En visite tous les quatre matins. Voulaient même prendre Aegor pour me simplifier la vie. Mais je disais nan. Je savais qu'il y avait un truc. Je savais. Pendant la grossesse Aegi me l'avait dit. " Si c'est un garçon il faudra qu'il aille en tutelle chez moi." Mais j'en avais rien à foutre moi de toutes ces coutumes de merde mais bon j'avais quand même promis. T'verras quand t'auras en face de toi une femme que t'aime enceinte jusqu'aux yeux qui te demande un truc. Tu verras si t'arrives à dire nan !

J'sens que j'ai une p'tite larme sur la joue, qui me roule jusque dans le crin qui me sert de barbe vu que je suis pas rasé depuis deux jours.

- Puis je suis passé capitaine et mes bébés ont grandi sans que je vois le temps passer. Avant-hier il a eu six ans mon Ange... Et ils sont venus le chercher. J'ai tapé un scandale puis ils m'ont fait un truc d'elfe là, ils m'ont tellement parlé d'Aegi, de la promesse que je lui avais faite, de ce qui était le mieux pour notre fils. Alors je l'ai laissé partir. Mon p'tit. Je vais le voir hein ! Je vais l'voir aussi souvent que je veux ! Aussi souvent que j'peux ! Mais il est plus là... J'crois qu'Ambre m'en veut. J'me demande si elle va pas suivre son frère. Ce serait presque mieux au moins i' serait pas seul. Moi ouais, moi j'serais seul, mais moi on s'en branle hein ?!

Un autre garde, grand, costaud, le visage impassible, s'approche de nous doucement et fait signe à Sylvan de se lever.

- J'aurais dû les buter ces putains d'elfes ! J'aurais dû les éventrer et les pendre avec leur boyaux aux poutres de mon salon ! J'aurais dû garder mon fils ! J'aurais dû...

Une poigne de fer s'abat sur mon épaule et on me retourne comme une crêpe.

- Je vais vous ramener mon Capitaine, dit Fendor d'une voix calme. Trixxe va rentrer chez lui aussi.

Le jeune homme s'éclipse sans demander son reste.

[...]

Je ne me suis rappelé de rien après ça. Je me suis juste éveillé aux aurores, la force de l'habitude, avec un mal de crâne carabiné. Je suis dans mon lit, déshabillé, mes vêtements sales pliés dans un coin et j'ai une fiole de remède sur la table basse avec une miche de pain. Certes un peu rassis mais tout de même. Fendor est vraiment un ami. Une bonne douzaine d'années que je le connais aussi ça aide... Je me lève, me lave, me prépare et arrive de très bonne heure au château. Je suis sur les remparts quand la garde estrelevée et que le nouveau arrive, la gueule gênée, les yeux enfarinés. Et plutôt surpris de me voir là, visiblement frais et dispos. Une énorme supercherie évidemment.

- Alors le Talbourgeois, on tient pas l'alcool ?

Je vois bien qu'il est étonné, tant du fait que j'arrive à articuler un truc cohérent que parce que j'ai, contre toute attente, retenu d'où il venait. Il sourit malgré son regard fatigué et réalise un salut digne de la parade. Courtois, discret, motivé... On va peut-être arriver à en faire quelque chose de ce petit.

Spoiler: "Episode avec le roi et affaire des pierres bleues"

- Raccompagnez M. Sauleventeux jusqu'à la porte s'il vous plait.

Un page s'empresse de ramener l'homme d'âge mûr dans le couloir, sans ménagement, en traversant la grande salle d'audience.

Je le vois bouillir de rage sous son veston pourpre. Il a ce tic léger, cette contraction du muscle de la joue qui le fait ressembler à un invalide qui a le membre fantôme qui le chatouille. Il tapote son sceptre d'un index agacé. Quelle stupide marque de pouvoir d'ailleurs. Tout pour singer Manastebal, alors que notre système est mille fois meilleur que le leur. N'importe quel abruti peut engendrer un autre crétin, alors que lui, lui, il a été élu. A quoi bon se trimbaler avec un sceptre doré je me le demande... La force des apparences.

La porte se referme dans un bruit feutré et c'est la phrase qui claque.

- Qui m'a laissé passer un crétin pareil !? Je ne suis pas obligé de recevoir tous les égos boursoufflés de Manastebal ! Tormund ! Devant moi et avec diligence je vous prie !

Une journée où je suis au Palais. Capitaine de la Garde, ça a ses avantages et ses inconvénients. Je préfère la rue que le protocole mais malgré tout, de temps en temps, je ne peux pas y échapper. Et les jours de doléances externes et ben j'y échappe pas. Aujourd'hui il y avait une délégation de l'île moyenne alors il fallait le Capitaine de la Garde, armure d’apparat, épée rutilante et tout le bataclan. J'ai bien senti ma matinée passer à voir défiler une belle brochette d'enfarinés de tout poil : des humains qui pourraient acheter les terres de mon père rien qu'avec les bagues qu'ils ont sur une main, des elfes maquillés comme des carrioles volées, et même un nain, assez rare pour le souligner, si fat que si j'avais voulu j'aurais pu m’asseoir sur son amour-propre, il m'en dégoulinait jusque sous les pieds.

Et puis il y a eu ce Sauleventeux. Millième d'une longue lignée de connards arrogants, presque aussi richement sapé que notre roi lui-même. Roi qu'il a bien pris soin d'appeler Gouverneur d'entrée de jeu. Il a eu droit à un regard magnifiquement froid et dédaigneux, le calme et l'assurance des marchands y font dans ces situations. Après avoir parlé de la pluie et du beau temps sur son île corrompue (ici au moins nous avons la décence d'avoir une corruption populaire, bien de chez nous, qui fait participer le peuple autant que les dirigeants!), il a embrayé sur l'objet de sa visite. Et quel objet ! Le lord fanfaron a soit disant mis au point des techniques d'escalade révolutionnaires permettant de grimper aux aiguilles assez haut pour y trouver quelques filons de caillasses intéressantes. Comme si c'était possible de grimper aux pics, n'importe quoi. D'ailleurs c'est c'qu'a dit le roi, peu ou prou, la forme en plus. Mais le bougre y a été de tous ces détails, enfin des détails qui seraient pas forcément facile à mettre en oeuvre mais au moins des détails pour que ça ait l'air vrai. Il a même ramené une de ces pierres qu'il a offerte au roi.

C'est moi qui ai ouvert la boîte et c'était une belle pierre ça j'peux pas l'nier***. J'ai bien étudié la boîte sous toutes les coutures avant de la tendre au roi. Il y a jeté un coup d’œil rapide et n'a pas sourcillé. C'était une œillade de marchand, une de celle qui ne laisse rien paraître du tout. Il a regardé ce Manast' bien dans les yeux et lui a demandé de continuer. Comme ça, simplement. J'ai du mal, moi à rester si stoïque quand je commence à m'énerver. Je ne suis pas un butor et ne frappe personne sans bonne raison, en revanche j'ai la langue plus rapide que la pensée. Le seigneur marchand a commencé à faire des ronds de jambe, j'en ai entendu soupirer d'aise le conseiller Tormund qui se demandait où tout cela irait si on commençait à traiter le roi de la grande île comme un péon moyen. Il a bien mis quinze minutes à se dépatouiller de ses salamalecs et a enfin craché le morceau : il voulait des terres sur la grande île, en échange du brevet de son invention miraculeuse "qui sait ce qu'on pourra trouver comme pierres par chez vous ?" a-t-il minauder, comme s'il nous imaginait assis sur un tas d'or. Il avait des étoiles dans les yeux. Le roi n'a rien dit... De longues minutes...

Lord Sauleventeux a commencé à avoir chaud et moi j'ai commencé d'être satisfait. Par contre Tormund Black et ses yeux de vipère n'avaient pas l'air aux anges. C'est étrange ça, faudra vraiment que je me rencarde là-dessus. Je sais qu'il est tellement fourbe que si par mégarde il tombe dans une fosse aux scorpions il serait bien foutu de s'y faire construire une maison de vacances. Il s'est même approché un peu du roi pour lui souffler quelque chose à l'oreille. Il a pris la pierre dans ses mains rougeaudes et l'a agité sous le nez du monarque, la lumière envoyant mille petits éclats bleutés dans toute la salle d'audience. J'ai bougé un pied et le conseiller s'est empressé de remballer son fatras et de reculer, l’œil noir. Et puis tout s'est arrêté là, le visiteur a été mis à la porte sans ménagement. Maintenant j'attend que cette fouine s'explique.

[...]

" Ca n'a pas été agréable tu vois ? Le roi l'a sommé de s'expliquer, il avait remarqué qu'il y avait quelque chose de louche, que Tormund était visiblement au courant de la visite de cet abruti, qu'il était même sûrement déjà au courant de ce qu'il allait proposé. Franchement comme si on allait soldé notre île, aussi pourrie soit-elle ? Et pour des cailloux bleus... aussi beaux soient-ils ? Sans parler du fait que si ça se trouve chez nous on n'a que du charbon on n'en sait rien.... N'empêche, y'a un truc étrange, même moi je le sens. D'ailleurs le roi m' demandé de faire attention à ce Sauleventeux, il est encore un peu en ville... Et à Tormund aussi. Mais ça faut dire ce qui est, je faisais déjà gaffe avant. Je savais qu'il magouillait avec Manastebal, mais pour le matériel d'escalade et les pierres précieuses, j'savais rien. Enfin... Encore une journée qui a mis au jour d'intéressantes affaires tu dirais. Je sais que tu dirais ça... Bonne nuit. A demain.

Je referme le médaillon gravé sur le visage souriant de ma femme et le glisse sous ma chemise, contre mon cœur. Demain est un autre jour. Et demain, je suis dehors, finis-je de penser avant de m'endormir.

***

Détails

Spoiler: Description en liste à puces

- Originaire d'Ocremont, Castel-sous-lin
- 37 ans
- 1.84m, 85kg
- Quelques cicatrices dont une en plein visage
- Cheveux bruns, Yeux marrons
- Un air pas foncièrement aimable
- Voix assez grave, sifflante par moment (tousse pas mal)
- Tient bien l'alcool, certainement proche d'être un alcoolique mais jamais en public et jamais jusqu'au point de rouler sous la table (sauf exception)
- Propre sur lui
- Professionnel
- Parle peu (sauf exception donc... du genre du premier texte avec Sylvan)
- Bon combattant
- Maître de lui (sauf tous les désagréments de l'alcool évidemment)

- Fils déshérité de propriétaires terriens, les Prayne (spécialisés dans le lin)
- Veuf (d'une femme elfe Aegileif Lasbelin)
- Deux enfants (Ambre et Aegor), tous les deux dans la famille de leur mère
- Vit avec une gouvernante (Nana)
- Pas de relation suivie avec une femme depuis la mort de la sienne
- Une maison de ville pas loin du palais
- La plupart du temps en "garnison" au palais même
- Relation extrêmement tendue avec sa mère
- Relation tout juste cordiale avec son père et son frère
- Relation très suivie avec sa belle-famille (même si c'est un peu conflictuel, ils ont ses enfants)
- Famille Lasbelin : ils sont plus enfoncés dans les terres (plus au nord donc, un peu loin), je vois la "relation" avec le enfants un peu comme une garde partagée (épistolaires principalement et de temps en temps ils viennent à la capitale - un équivalent de vacances, souvent accompagné d'Anders), j'y vais de temps en temps malgré tout

- Capitaine de la Garde Royale
- Avant cela il est passé par tous les grades, de simple soldat à capitaine
- Avant cela encore, quelques temps en "commis de cuisine"
- Avant cela encore, éducation de petit nobliau, plutôt "bouseux" (agriculture, gestion de terres, etc.)

- Naissance, Enfance, Adolescence classique
- Rencontre de Agileif et mariage
- Déshéritage et installation à Orm-de-l'écume
- Naissance d'Ambre (17 ans au moment du scénario)
- Entrée dans la Garde Royale (garde du gouverneur)
- Promotion dans la garde (sergent puis lieutenant)
- Se lie d'amitié forte avec Fendor (son lieutenant maintenant)
- Mort d'Aegileif / Naissance d'Aegor (8 ans au moment du scénario)
- Embauche de Nana
- Devient alcoolique
- Promotion Capitaine
- Départ d'Aegor pour les terres Lasbelin (2 ans avant le scénario)
- Départ d'Ambre pour les terres Lasbelin (1 an et demi avant le scénario)
- Se jette corps et âme dans son métier (plus encore qu'avant) car seul

Traits

Force : 15
Endurance : 16
Esprit :10
Sagesse :10
Charisme : 13
Intelligence : 11

Talents/compétences

Dextérité
Entraînement a la course
Science de l'entraînement militaire
Science du commandement
Science du combat
Résistance a la faim /froid /fatigue
Connaissance des cultures de bases
Intimidation
Equitation
Immobilité
Volonté accrue
Sens de la ville
Sens de l'organisation politique
Observation accrue
Cuisine de campagne
Réflexes accrus


Combat

Combat a main nue
Combat a l'épée : courte /longue /deux mains
Science du bouclier
Combat a l'arbalète 
Combat a la masse d'arme
Port d'armure : légère /moyenne /lourde
Science du blocage
Parade
Sens des pièges