Vêtue d'un t-shirt délavé et d'un pantalon camo, les cheveux encore humides de la nouvelle douche que je me suis offerte ce matin, je fais mon entrée dans le salon-cuisine et je découvre horrifiée le spectacle. Mon regard croise celui du bel Hydran et l’idée d'aller poser des mines avec lui à l’extérieur me semble brièvement une excellente idée. Mais le fumet qui s’échappe de la marmite - et les bruits qui s'échappent de mon estomac - me poussent à rester et à me ranger à l'avis de Svet.