Avec quelques approches silencieuses, nous nous débarrassons progressivement de nos ennemis dans l'étage.
Voyant l'étage nettoyé, j'en arrive à la même conclusion que Félicien, il allait falloir monter à l'étage supérieur.
Je temporise cependant ses ardeurs : je suis bien d'accord, mais j'aimerais laisser encore une chance à Théodore de tout nous dire.
Je fixe le nécromant et lui murmure: Comme tu le vois, nous n'avons pas besoin de toi pour avancer dans la citadelle. Si tu as quelque chose à nous dire qui pourrait en jouer en ta faveur, c'est maintenant.
Je rabaisse le bâillon de Théodore d'une main, de l'autre, je maintiens une dague contre sa poitrine, prêt à le saigner s'il crie.