Les présentations faites, et l'inconnu ayant abaissé son champ de force et ne semblant pas avoir d'intentions immédiatement hostiles, je m'extrais de la dépression dans le sol que j'occupais jusque là. Bien consciente de ne pas être à mon avantage avec mes yeux rouges, mes écoulements de nez et mes éternuements, et trop consciente aussi de ma vulnérabilité actuelle - sortir sans armure et sans arme ! - je laisse Svet et Ishida tenir le nouveau venu en respect et Junko conduire les négociations.
En retrait, je surveille du coin de l’œil l'incendie qui progresse, et je cherche du regard notre brave Atoa. Impossible de retourner dans le Krawler, ou d'y admettre le nouvel arrivant, sans lui.