J'appuie mon regard sur le crétin qui ricane, pensant très fort, <pense:>J'ai parlé de chiens. Des vrais, avec des poils partout et un bon odorat...Toi t'es qu'un roquet !
Mais je ne bouge pas d'un pouce. C'est pas l'envie qui me manque, pour la bagarre. Mais, cette fois fois, c'est pas moi qui la déclencherai !
Je jubile presque intérieurement de cette petite victoire sur moi-même...