Je doute qu'il parle notre langue. Le ramener comme prisonnier serait cependant une preuve indéniable à présenter au Conseil des 12 de Koris. Désarmons-le, entravons ses jambes pour qu'il puisse marcher vite mais pas courir, et attachons lui fermement les mains dans le dos, et que l'un d'entre nous le surveille constamment.
Pour le moment, il nous faut mettre le plus de distance possible avec les orcs. Nul doute que les fuyards vont revenir avec des forces en nombre. Ils ne doivent pas nous trouver dans les cavernes.
Sébastien, combien de temps avant de sortir des cavernes ? Tant que nous y restons, ils ont l'avantage sur nous, à cause de l'obscurité.