J'observe la scène d'un yeux éteint par la fatigue. Une scène normale à vrai dire pour moi. Je me retourne vers le samouraï.
"Ton compagnon n'avait pas parlé d'un démon ? C'est peut-être le même qui a fait ça. Et je suis d'accord avec la demoiselle, on peut aller voir la source d'énergie mais on se casse fissa après. Ça pue vraiment la mort ici."
Je reste sur mes gardes, mon sabre à la main.