L'enthousiasme de mon succès cède vite la place à l'horreur du spectacle offert par cette chose agonisante et au dégoût de l'avoir "touché". Je me recule sans même me relever, (me) trainant sur mon séant de manière certes peu élégante mais véritablement effrayé par l'horreur végétale dont je cherche à éviter les racines "mangeuses de vie". Sans doute plus fort que je ne l'aurai souhaité, je ne peux m'empêcher de lâcher instinctivement...
Brûlez... brûlez cette chose, qu'on en finisse ! sans véritablement faire attention à qui est désormais réveillé.