Je suis sincèrement désolée de cette triste situation, Messire. Ce disant, je m'incline en signe d'excuse. Il est profondément injuste que vous, victime de ce Loup de Pierre, soyez traité en potentiel agresseur, par une étrangère à vos terres, qui plus est.
D'autres que lui m'auraient déjà jeté son lot d'insulte à la face. Mais la nature de cet homme semble bien douce et bonne, peut-être la raison pour laquelle Loup de Pierre a échoué à reprendre le contrôle de son âme.
Puis je me redresse et lui tends la main. C'est pourquoi je vous remercie pour votre sollicitude, Messire. Et vous propose en retour mon épaule pour vous aider à gagner la salle commune où doivent être réunis mes compagnons de voyage - qui seront les vôtres si vous nous accompagnez dans notre périple.
Comme disait mon maître "Une main qui en tient une autre sait ce que font les deux."