Même si je connaissais peu l'Homme-Oiseau, je ne l'en estimais pas moins et sa perte me peine sincèrement.
Et comme l'on sait, la peine est une émotion protéiforme, qui fera gronder les uns comme notre géant ou, en ce qui me concerne, réciter une prière pour que la Grue entraîne l'âme de Blezian vers d'autres cieux.
Pas à haute voix, mais plus forte qu'un murmure, les yeux fixés sur un éclat de ciel visible au travers des fenêtres, ma mélopée se mêle aux éclats de voix, guide pour l'esprit du défunt, baume pour le coeur de ceux qui sont dans la douleur.