Quel bonheur que de dormir dans un lit, prendre une bonne douche, et se préparer sans hâte, sans vigilance et sans check list. Je savoure cette espèce de mollesse étrange, que j'ai rarement connue au cours de mon existence.
Le contraste de cette sensation avec le spectacle donné par Atoa est saisissant et chasse soudain tout esprit de relâchement de mon esprit. Je croise le regard dégoûté de Trzu qui émerge également de sa chambre, lui sourit en haussant les épaules et élevant la voix, je hèle le kronk d'un ton énergique :
"Hé Atoa ! Ca sent super bon ! Euh ... tu pourrais arrêter la musique, pour que nous puissions nous entendre ..?"