En fait, je n'ai pas vraiment envie de m'énerver, juste de me laisser flotter dans cette sensation de légèreté. J'oublie le type à la psygem et je suis lentement le groupe vers le salon ou je m'affale dans un fauteuil, les yeux fermés, savourant cette profonde détente rarement ressentie au cours de ma vie.
De toute façon, je me fiche comme d'une guigne de tous les mutants, tous les psykers, tous les démons et autres panzers contaminés de la planète ... je préfère plonger dans les merveilles de ma vision. J'ai l'impression que je n'ai plus qu'à faire quelques pas pour y être !