La tête dans le pâté, je suis réveillé par un Boo paniqué. J'entends en grande parti ses paroles mais c'est surtout l'odeur qui me fait sursauter de mon futon. Et c'est en caleçon que je me précipite vers les cuisines, constatant une épaisse fumée.
Ni une, ni deux je cours vers le puits pour y récupérer de l'eau afin d'aller éteindre les flammes, ayant une pensée au remontrance de mon maître lorsqu'il sera de retour.
Non non non non non !