Message #472470

[Zork]

Salut les gens, je viens tout simplement à votre rencontre pour vous parler de mon petit projet.

J'ai dans l'idée de lancer d'ici quelques temps, une petite partie de mon cru. Trois ou quatre joueurs je pense. Les règles devraient être construites autour de corpus Mechanica.
Je vous laisse lire le petit script d'ambiance.


Fort du succès de l’émission Koh-Lanta,  rencontré en France sur Tf1, la société américaine Manwin, possédant déjà les droits de Playboy TV , lança un tout nouveau concept de télé-réalité en créant,  via la collaboration du groupe  Conceptcam, une émission payante  destiné une nouvelle fois à un public adulte,  qu’elle intitula THE LAST SURVIVOR.
La société Manwin se félicita de la popularité que rencontrait la publicité de l’événement posté quelques semaines avant la diffusion du première épisode et déjà,  elle indiqua non sans une certaine fierté, que les nouveaux téléspectateurs, s’abonnaient en masse.

Extrait de l’interview accordée par le dirigeant de la société Manwin à la BBC.

Manwin : Oui effectivement, programmer une telle émission ne c’est pas fait sans mal. Il a fallut de nombreuses autorisations, mais nos arguments ont été entendus et cela  a finalement été plus facile que prévu.  Les prisons des Etats-Unis sont pleines et ce projet à plu tout de suite.
La réelle difficulté était d’obtenir le feu vert concernant le lieu du tournage. Il nous fallait impérativement un bout de terre, concernant ce point nous avons dû négocier longuement, mais à force de persévérance nous avons obtenu gain de cause.

Peter de BBC : Pouvez-vous nous  expliquer le concept de votre nouvelle émission ?
 
M :   Comment ça ? Vous n’en avez pas entendu parler ? (rire)
Le concept est simple. Des prisonniers condamnés pour meurtre aggravé, détenus sous un régime de haute sécurité dans des quartiers spéciaux des prisons dits « Couloirs de la mort » vont participer à l’émission de la dernière chance.  Le principe est le suivant , les candidats sélectionnés seront regroupés sur une île et ils devront tenter de subsister le plus longtemps possible.

P : Ah oui, c'est un nouveau concept, effectivement. Pouvez-vous nous en dire davantage ?

M : Disons que l'équipe de Conceptcam à prévu des épreuves... distrayantes. Et que les téléspectateurs devraient en avoir pour leur argent.
 
P : Des épreuves dites-vous ?

M : Oui, c’est l’idée. L'émission dur deux semaines. Les candidats devront résister jusqu'au bout et les vainqueurs se verront gracier de la peine de mort, toucheront 100 000 Dollars et intégreront, suite à l'émission, une prison privée de Denver.  Cellule indépendante, salle de cinéma, atelier créatif et espaces vert à disposition. Le grand luxe. (rire)

P : Mais vous n’avez pas peur que des détracteurs vous poursuivent en justice ?

M : (rire) C’est déjà le cas, mais nos avocats coutent moins chers que ce que nous rapporte ce programme.

P :Pouvez-vous nous en dire plus sur la réalisation et sur les conditions de diffusion de The last survivor ?

M : Chaque candidat sera suivi par une équipe de deux cameraman sept jours sur sept et vingt quatre heures sur vingt quatre. Les images récoltés par les équipes en place pourront être mis en boite pour l’émission diffusée tous les jours à minuit. Et comble du spectacle, un direct de chaque candidat encore en course sera prévu en fin d’émission. Le téléspectateur doit en avoir pour son argent, c’est la moindre des choses. Ils pourront finalement en toute fin de programme, voter pour le candidat qu’il préfère via sms ou internet.

P : Voter ?

M : Oui, il faut bien apporter un peu de beurre dans les épinards. (rire)
Les votes du public seront totalisés afin de déterminer le candidat du jour. Celui qui aura été le plus inventif, le plus malin, le plus audacieux, que sais-je encore. Ce candidat recevra alors quelques bonus durant la partie.

P : Par bonus, vous pensez à une arme par exemple ?

M : Ah là, pour le savoir il vous faudra vous abonner et regarder l’émission. (rire)


Voilà concernant l'idée de base, je post pour le moment ce petit script pour savoir s'il y aurait d'éventuels intéressés.