Ne me sentant guère concernée par l'usage ou la vente des gemmes d'Ishida - je n'ai participé à aucune des situations périlleuses qu'il a traversé, et je n'ai guère envie de profiter du bénéfice produit par tant de morts -, je traîne en arrière avec Aota.
"Atoa, je peux t'accompagner dans ton atelier ? J'aimerais bien voir la façon dont tu travailles... je pense m'y connaître suffisamment en armurerie pour être utile. Et, si tu as un moment, j'aimerais bien voir ce que tu proposes comme arsenal lourd."