Sian reconnaît un symbole dans le texte. Le "ka" comme une composante de l'ancien concept osirien de l'âme, divisé en cinq parties. Le ka contient «l'étincelle vitale» d'une personne, ce qui distingue le vivant du mort. Pour ce qui est de la statue, la religion ne lui apporte rien, mais le visage sans forme le laisse très perplexe.
[Un charabia incompréhensible en osiriani_ancien] Jbr gb lbh jub jbhyq cyhaqre gur Eryvdhnel bs gur Guevpr-Qvivqrq Fbhy. Ghea njnl, yrfg gur unefu whqtzrag bs gur Sbetbggra Bar snyy hcba lbh naq lbhe qrfpraqnagf sbe n gubhfnaq trarengvbaf. Ghea njnl, sbe uvf xn pnaabg or nccrnfrq naq vg funyy pnyy sbegu yrtvbaf bs gur qrnq naq gur qnzarq. Ghea njnl, naq znl gur Nyy-Frrvat Rlr naq gur Ynql bs Tenirf gnxr cvgl ba lbh, sbe vs abg, gur Sbetbggra Cunenbu funyy pbafhzr lbh, obql naq fbhy.
Qui pourrait être traduit en commun de la façon suivante:
Malheur à vous qui voudriez piller le reliquaire de l'âme à trois fois divisé. Détourne-toi, de peur que le jugement sévère de l'oublié ne tombe sur toi et tes descendants depuis mille générations. Détournez-vous, car son ka ne peut être apaisé et il invoquera des légions de morts et de damnés. Détourne-toi et que l'œil qui voit et la Dame de la Tombe prennent pitié de toi, sinon le Pharaon Oublié te dévorera corps et âme.
