Instinctivement, sans que vraiment je m'en rende compte, je suis debout, face au "grand", baguette à la main que je pointe dans sa direction. Je fronce les sourcils, l'air mauvais (ou du moins essayant de le paraître) et lâche: Tu vas arrêter ton sort tout de suite ou sinon !
Sinon quoi ? Je ne vois pas ce que je peux faire mais si il faut lui sauter dessus, je le ferai ! Je m'en fiche que ce soit un sorcier, ça ne se fait pas ce qu'il a fait ! Si seulement mes cousins étaient là, il ferait moins le malin ! C'est à peu près au même moment que Raphael lui jette son livre au visage; bien fait !