J'écoute un temps en silence les échanges entre le moine et le chevalier, me disant en mon fort intérieur que notre hôte n'est peut-être pas celui qu'il m'avait semblé être de prime abord. Il parait au final sincèrement désireux de nous aider; cela change des gens que nous avons pu croiser ces derniers temps ! Finalement, sentant que je m'endors sur la table, bercé par la douce chaleur de l'âtre, je me lève et, prenant congé...
Je vous remercie pour cette soirée, Frère Concaelus, tant pour le partage de votre table que de votre toit... tous deux fort réconfortants après cette éprouvante journée de voyage. Vous ne ferez pas de difficulté à me céder vos quartiers pour la nuit ? A moins que vous n'ayez quelques chambres secondaires, je m'en satisferai pleinement !