Enjamber un gigantesque canidé avec des côtes cassées n'était pas des plus simples, surtout lorsque le molosse choisit justement ce moment-là pour s'étirer en poussant un ronflement caverneux. Il s'en est fallu de peu que je ne lui porte un coup, me contentant d'un sursaut qui pourra aisément passer sur le compte de la douleur si jamais la question était abordée de façon gênante.
Une fois rentrée, j'observe les lieux et la faune qui les habitent, en laissant tranquillement glisser le regard inquisiteur du propriétaire.