La fatigue n'est pas une excuse pour le renoncement. En dépit de ma mauvaise soirée et du manque de sommeil, je poursuis la bataille, affrontant les mort-vivants, les décédés réanimés, pour protéger le monastère et le village. Grâce à l'allonge de ma hallebarde, j'ai un avantage au premier contact. Mais seul, cette arme devient vite un problème, quand ma garde est passée, quand je manque d'espace de manoeuvre ou qu'au contraire, l'ennemi en a trop.
Heureusement, je ne suis pas le seul défenseur des lieux. Nous sommes nombreux, bien qu'insuffisants pour contre-attaquer. La nuit est rude. Mais finalement, des renforts arrivent. Heureusement.

Fatigué, épuisé, je me repose enfin. Assis, écoutant les autres discuter. Trop vidé pour avoir grand chose à ajouter.

Quelle journée ... ça m'a rappelé les Profondeurs.